Isiah Thomas sur Karl Malone : le « maillon faible » du Jazz
Désormais consultant, Isiah Thomas en profite pour donner ses propres versions de l’histoire, mais aussi pour adresser quelques piques à ses anciens adversaires, qui ne l’ont pas accepté à la Dream Team 1992. Dernière victime en date : Karl Malone, alias le « maillon faible du Jazz » selon lui.
En revenant sur l’équipe d’Utah, je pense qu’ils avaient tout ce qu’il fallait pour gagner le titre. Ils avaient le système, les joueurs, la dureté, un esprit défensif, tout. J’ai toujours songé au fait que Malone était le maillon faible car il n’était pas adroit aux lancer-francs. S’il avait été meilleur dans ce domaine, ils auraient battu Chicago.
Il est vrai qu’en 1997, les lancers avaient un grand rôle lors des finales, notamment au Game 5 (5 sur9) et 6 (7 sur 15). Tandis que l’année suivante, le problème était surtout qu’il n’en avait pas tellement provoqué.
Mais de là à considérer le deuxième meilleur marqueur de l’histoire comme le maillon faible ? Il y a probablement du règlement de compte dans l’air.
Ah le bon vieux temps.. :)