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Kevin Seraphin a du mal à gérer le coaching de Randy Wittman

Le coaching de Randy Wittman depuis le début de la saison est une énigme, spécialement avec son banc, et ce sont les intérieurs qui en font les frais. Trevor Boooker, Jan Vesely et Kevin Seraphin ne savent jamais à quoi s’attendre. Ils peuvent faire un excellent match et ne plus rentrer en jeu les trois suivants, sans raison.

Le Français est directement concerné et il vit ça depuis le début de la saison. Par exemple, après avoir fait un match à 18 points qui lui avait valu les félicitations de son coach, il n’a ensuite pas joué les 4 matchs suivants. Finalement il a enfin eu du temps de jeu lundi et a signé encore une excellente prestation (16 points et 7 rebonds). C’est une situation qu’il a bien sûr du mal à gérer.

Si je joue une, deux, trois, quatre ou vingt minutes je vais être prêt. Pour être honnête, c’est vraiment difficile si vous ne savez pas si vous allez jouer ou non. Mais c’est comme ça actuellement. C’est comme ça qu’est la NBA. L’important ce ne sont pas les opportunités c’est d’être prêt et c’est tout ce que dois faire. C’est la seule chose que j’ai à faire.

Etre prêt et pour l’instant Kevin semble l’être à chaque fois qu’on fait appel à lui.

Je vais m’assurer d’être prêt pour chaque match, chaque minute qu’on me donne. Je me sens vraiment très bien sur le terrain. Il n’y a pas besoin que l’on m’explique les choses. Je ne demande pas vraiment les raisons… J’attends, c’est tout.

Et Wittman n’anticipe pas vraiment les choses.

Vous avez 15 joueurs et seulement 5 peuvent être sur le terrain en même temps. Je sais que vous pensez que je devrais en faire jouer 15 mais ce n’est pas possible. Nous avons solidifier un peu notre banc, même avec le retour de Nene dans le 5 et nous avons quelques bonnes productions.

C’est une situation ou vous êtes à un pas de jouer 30 minutes.  Vous ne savez jamais ce qu’il va se passer. Les problèmes de fautes, les blessures, un joueur malade. Je pense que Kevin Seraphin et Jan Vesely ont vraiment assimilé cela et ils étaient prêts lorsqu’ils ont été appelés.

Via Washington Post

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