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Chandler Parsons sur les Pistons: c’est le jour et la nuit

Cette nuit les Dallas Mavericks et les Detroit Pistons se croisaient pour la seconde et dernière fois de la saison. Le 17 décembre les Mavs s’étaient tranquillement imposés 117-106 face à une équipe des Pistons en perdition. Mais cette nuit pour la revanche, ce sont des Pistons gonflés à bloc et sur une série de 6 victoires, qui sont allés chercher la victoire sur les Mavs à Dallas, en toute logique.

C’est le jour et la nuit. Tout est une question de confiance. Evidemment ils ont toujours eu le talent. C’est le même coach, les mêmes systèmes, les mêmes actions. Ils jouent juste librement et ils sont en confiance. Chandler Parsons

Ca a vraiment été un anéantissement. Du début à la fin ils nous ont dominés. Ce n’est pas un accident qu’ils soient sur 7 victoires de rang. Ils ont battu quelques bonnes équipes. Rick Carlisle

Il y a toutefois une petite différence entre les deux matchs c’est le départ de Josh Smith, licencié par Stan Van Gundy. Depuis Detroit n’a plus connu la défaite et on pourrait se dire que ce n’est pas une coïncidence mais les Pistons refusent de rentrer dans ce jeu là.

Je sais que vous cherchez un gros titre, mais nous ne nous concentrons pas sur ça. En tant que joueurs nous n’avons rien à voir avec cette décision. C’est juste notre boulot d’aller sur le terrain et de jouer. Si vous voulez faire un gros titre, c’est de votre responsabilité. Nous essayons simplement de faire notre boulot. Greg Monroe

Je n’avais pas anticipé ça. Ce que nous avions anticipé c’est donner des opportunités à différents joueurs et notamment à nous jeunes gars. Josh est un vétéran qui a 10 ans d’expérience qui était dans une situation compliquée avec un bilan de 5-23 et je voulais donner aux autres des opportunités, ce qui allait probablement réduire son temps de jeu et lui enlever le ballon des mains. Je ne pensais pas que c’était juste pour lui. C’était plus facile de procéder ainsi, puis c’est aussi un avantage pour le futur d’un point de vue du salary cap, donc ça nous aide pour le futur.

Comment tout cela est arrivé ? Je n’en sais rien. Stan Van Gundy

Brandon Jennings explique lui ça par une sorte d’électrochoc

Quand cela arrive à un coéquipier, qu’il se fait virer ou transférer, dès fois c’est un peu comme un électrochoc. Puis cela donne aussi des opportunités à d’autres joueurs. Tout le monde a profité de son opportunité. Les gars ont répondu positivement.

Via ESPN

 

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