Jordan Farmar sur son passage aux Clippers: je n’ai jamais eu le sentiment d’avoir un véritable rôle
Les Los Angeles Clippers et Jordan Farmar ont décidé hier de se séparer en négociant un buyout, le meneur n’ayant jamais réussi à s’adapter à sa nouvelle équipe. Il y croyait pourtant cet été mais les choses ne se sont pas passées comme prévu. En 36 matchs il tournait à seulement 4.6 points à 38.6% et 1.9 passe en 14.7 minutes et il n’apportait pas ce qu’attendait Doc Rivers en sortie de banc.
Je suis surpris que ça se soit déroulé ainsi. Mais ça s’est avéré ne pas être une bonne association. Nous avons tous les deux décidé qu’il valait mieux que nous nous séparions.
Je n’ai jamais eu le sentiment d’avoir un véritable rôle. Nous avons parlé de mon job pendant l’inter-saison et de ce qu’il allait être. Mais dans les faits ce n’est pas ce qui était prévu. Je n’ai jamais pu me mettre dans le rythme, me mettre à l’aise et avoir le sentiment que j’avais une place. Farmar
En plus de ça Doc Rivers était très dur avec le meneur comme il l’avait déjà confié.
Vous avez raison en disant ça. J’assume. Je fais ça depuis longtemps et je ne sais pas pourquoi ça se passait ainsi. C’était simplement pas une bonne association. Sur le papier ça avait l’air vraiment bien. C’était différent dans la réalité, et je pense que c’était le cas pour les deux camps. Donc au final nous nous sommes mis d’accord pour nous séparer.
De nombreuses équipes devraient s’intéresser au meneur et il pourra sans doute rapidement rebondir. Il se dit déjà que les Cavaliers de David Blatt sont sur le coup. Les deux se sont déjà côtoyés au Maccabi.
Il a surtout jamais eu le niveau. Les Clippers auraient du le couper bien avant.