Brett Brown se fait du mal en observant les Spurs jouer
Mis à part la présence de Brett Brown en tant que coach, on voit mal comment faire le parallèle entre Sixers et Spurs. L’ancien assistant de Gregg Popovich ne désespère pas de voir son équipe, actuellement à 1 victoire pour 29 défaites, progresser.
Lundi, Brown a passé son lundi à observer son ancienne équipe (24 victoires pour 5 défaites, invaincue à domicile avec 16 victoires consécutives) détruire Indiana et Paul George, 106-92.
C’est marrant quand vous commencez à étudier les stats. Certaines équipes ne se reposent pas tant que ça sur les 3-points, ils prennent simplement de bons shoots. Regardons disons Houston. Et San Antonio. Complètement différent. Si vous regardez San Antonio lundi, ils mettent des shoots. Ces shoots n’ont pas tous besoin d’être des 3-points. Un bon shoot est un bon shoot. Si vous êtes ouvert, vous devez prendre le shoot. Nous avons appris que les longs 2-points peuvent être des briseurs de rythme et de course.
Jahlil Okafor attire certes les défenses pour Philadelphie, mais la réussite extérieure de son équipe est telle que ses adversaires peuvent se permettent de prendre le risque. À la mène, on retrouve Kendall Marshall, Tony Wroten ou encore T.J. McConnell. Marshall manque de rapidité, Wroten compte plus de ballons perdus que de paniers rentrés en 7 matchs et shoote à 20% à 3-points. Nik Stauskas est lui relayé sur le banc car Brown essaie de développer une identité physique et défensive.
Actuellement nous sommes lents. On ne court pas. Quand je suis arrivé ici, on parlait de cet esprit compétitif soir après soir. Je dois aider les joueurs à se redécouvrir eux-mêmes. Je dois leur rappeler les valeurs de notre programme, nos standards, ce que nous avons fait.
via Philly.com