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Stephen Curry pessimiste pour le game 3

C’est ce soir que les Warriors disputent leur game 3 à Houston mais comme au match 2 ils pourraient bien devoir faire sans Stephen Curry. Touché à la cheville droit lors de la première mi-temps du game 2, le meneur s’est montré assez peu optimiste malgré des progrès. Hier après l’entraînement il a confié qu’en l’état actuelle des choses

« Basé sur comment je me sens actuellement, je ne pourrais probablement pas jouer. Les raisons c’est que je ne peux pas jouer à vitesse normale et avoir confiance en mes moves comme j’en ai besoin. C’est là que vous vous mettez en danger en essayant d’exécuter quelque chose sans avoir la confiance, et pas seulement votre cheville ou votre pied, mais quelque chose d’autre qui va encaisser le coup à la place afin de pouvoir changer de direction ou de vitesse. A l’heure actuelle je veux m’assurer de ne pas prendre de risques de faire plus de dégâts ou de me blesser encore plus.  » Curry

Il a tout de même précisé que « demain cela pourrait être différent. » et que cela allait tout de même mieux que lundi

« Ca va mieux que lors du game 2. Je suis assurément encouragé par le fait que cela va mieux. Tant que je continue d’aller mieux je pense que ça ira pour nous. A quelle vitesse ça va arriver, ça je ne sais pas. »  Curry

Il peut désormais marcher sans boiter et sans douleur mais cela ne suffit pas.

« Se trimbaler en marchant et faire des moves sur le terrain ce n’est pas la même chose. Mais ça s’améliore » Curry

Pour qu’il soit en tenue ce soir, la condition c’est d’être à 100%, ni plus ni moins.

« S’il est à 100% il jouera. Je sais que beaucoup de gens disent ‘Ne le faites pas du tout jouer’ mais si vous êtes à 100% vous pouvez jouer. Mais quelques fois c’est difficile de dire à quoi correspond 100%. Il faut faire confiance à l’athlète, au staff et aux docteurs. Il ne jouera pas tant qu’il aura mal et qu’il ne pourra pas bouger librement sur le terrain. Mais si c’est le cas, s’il n’a plus de douleur, qu’il passe tous les tests de mobilité qui testent la force de la cheville par rapport à l’autre et que vous avez le sentiment qu’il n’y a aucun risque, alors vous le laissez jouer. Mais avant ça, il est facile de lui dire de ne pas jouer s’il a des douleurs quand il coupe ou qu’il court. » Bob Myers, GM

Via Mercury News

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