Zach LaVine : « J’ai encore quelques dunks jamais vus en stock »
Arrivé le 22 juin à Chicago en compagnie de Kris Dunn et Lauri Markkanen (7ème choix de la draft) dans le cadre de l’arrivée de Jimmy Butler (et de Justin Patton, 16ème choix) à Minnesota, Zach LaVine (22 ans, 1,96m, 85kg, 18.9 points, 3.4 rebonds et 3 passes par match en 2016-17) espère qu’il aura plus souvent le ballon dans le système offensif de Fred Hoiberg chez les Bulls.
Son transfert, il l’a appris aux Bahamas.
« J’étais en vacances avec ma famille. On entend différentes choses avant la draft. Mon agent m’avait dit de garder mon téléphone sur moi. C’est arrivé juste avant le deuxième choix. Ça s’est fait rapidement. C’est la NBA, il faut savoir que c’est un business. Mon père (qui est aussi son coach perso) était assez calme, comme moi. Ensuite ma copine (Hunter Mar), mon oncle et mes tantes me demandaient ‘Mais qu’est-ce qui se passe ?’, etc. Mais tout va bien, les gens qui sont impliqués dans le basket comprennent » Zach LaVine
Et la ville de Chicago semble avoir été une bonne surprise pour l’ancien de UCLA.
« Sur les deux premières semaines, je n’avais pas réalisé à quel point la ville est grande. C’est géant. Je suis allé sur Michigan Avenue, j’ai fait un tour en bateau pour découvrir l’architecture, j’ai assisté à un match de baseball, j’ai visité un peu. Je n’avais pas réalisé que c’était tout proche de l’eau. C’est vraiment joli » Zach LaVine
Vainqueur du Dunk Contest en 2015 et 2016, il n’en a peut-être pas fini avec la compétition.
« J’ai encore quelques dunks en stock. Je voulais faire le concours à 3-points l’année dernière avant de me blesser. Je pense que j’aurai vraiment mes chances. Je tenterai peut-être ça. Mais on ne sait jamais pour le concours de dunks. J’ai encore quelques dunks, surtout que je serai dans une nouvelle ville, une nouvelle équipe. Je sais qu’ils aimeraient voir quelque chose de nouveau. Mais je ne sais pas, c’est peut-être le passé. C’est peut-être difficile de faire mieux après avoir gagné deux fois. J’en ai encore deux que les gens n’ont jamais vus. Il m’en faut trois autres. J’en ai encore trois que les gens n’ont jamais vus. Je les garde au cas où pour créer la surprise si jamais je le refais » Zach LaVine
via Chicago Tribune