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Ian Clark, une touche « Warriors » bienvenue chez les Pelicans

Les trois « jeunes vétérans » recrutés cet été par les Pelicans ont tous, à un moment ou à un autre de leur carrière, connu la victoire. Rajon Rondo a été champion avec les Celtics en 2008, Darius Miller champion NCAA avec Kentucky en 2012 (avec Anthony Davis) et Ian Clark champion avec les Warriors en 2017.

Joueur de rotation derrière les Splash Brothers, Clark a joué 93 des 99 matchs des Warriors la saison dernière (14.8 minutes de moyenne). Et il n’a jamais aussi bien shooté de sa carrière : 48.7% aux tirs et 37.4% à 3-points. Un vrai atout pour New Orleans, 19ème équipe de la ligue au pourcentage à 3-points (35%) et 14ème au nombre de 3-points par match en 2016-17 (9.4).

« Le rôle qu’il jouait à Golden State nous a vraiment intrigués. Quand vous avez des gars comme Jrue Holiday, Anthony Davis le meilleur 4 de la NBA et DeMarcus Cousins probablement le meilleur 5, plus Rajon Rondo, vous avez besoin de gars qui créent des espaces. On avait vraiment besoin de cette capacité de rentrer des shoots que Ian possède pour l’équilibre du roster. On l’a vu comme un bon ‘fit’ pour l’équipe, surtout quand il sera sur le terrain avec AD et DeMarcus. C’est un gars que la défense est obligée de respecter derrière la ligne » David Booth, directeur RH

Au compteur de Clark, 32 matchs de playoffs et 8 matchs de Finales NBA. Hormis Rondo (96 matchs de playoffs et 13 matchs de Finales NBA), trois autres joueurs seulement ont déjà atteint le stade des finales de Conférence au cours de leur carrière. Et ce ne sont pas les stars de l’équipe : Omer Asik en 2011 avec Chicago, E’Twaun Moore en 2012 avec Boston et Quincy Pondexter en 2013 avec Memphis.

« Si vous regardez, il a fait quelques gros matchs en finale de conférence Ouest contre San Antonio. Il n’a pas peur des matchs importants. Ça nous permet d’avoir une meilleure profondeur de banc et c’est quelque chose qui nous a manqué dans le passé » Alvin Gentry

« C’est un combo guard qui peut jouer 1 ou 2. C’est bien parce que quand vous avez Jrue ou Rajon sur le terrain, ou même E’Twaun, ça fait 3 ou 4 arrières capables de jouer sans ballon. La polyvalence est une grande aide, ça nous donne plus d’options de lineups » David Booth

via NBA.com

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