Paul Pierce : « Si on avait eu 26 ans tous les deux, LeBron James n’aurait peut-être pas eu ses titres à Miami »
Dans « ROLLING WITH THE CHAMPION » avec Cari Champion, Paul Pierce a discuté le temps ‘une course en Uber de LeBron James, des joueurs actuels et du fait d’être une légende des Celtics tout en étant né à Los Angeles.
LeBron James :
« Ce n’est pas parce je ne parle pas constamment de LeBron en disant LeBron ci, LeBron ça que je ne l’aime pas. J’ai adoré jouer contre lui, j’ai adoré nos affrontements. J’ai toujours dit que si on avait eu le même âge, ça aurait sûrement été différent. En quoi ça aurait pu être différent ? Il n’aurait peut-être pas eu ses titres à Miami. Si on avait eu 26 ans tous les deux… » Paul Pierce
Les joueurs actuels :
« Je leur donne un 3 (étoiles, comme sur la notation des chauffeurs Uber) simplement parce qu’ils ne veulent plus s’entraîner tous les jours, ils n’ont plus envie de se pointer aux matchs tous les jours non plus. Tout le monde s’intéresse plutôt à sa propre marque. Je me souviens quand j’étais à Washington il y a quelques années. C’est la mi-temps et tous les joueurs sont sur leurs téléphones. Là je me dis mais qu’est-ce qu’ils font sur leurs téléphones alors qu’on est censés se concentrer sur le match ? Tout le monde est sur Instagram, Twitter… tout le monde regarde ce qu’on dit d’eux par rapport à la première mi-temps. Je leur ai dit que s’ils ne rangeaient pas leur téléphone j’allais les massacrer. » Paul Pierce
La rivalité Celtics/Lakers :
« Je suis juste content d’avoir fait partie d’une rivalité. Les rivalités, c’est ce qui m’a attiré vers le basket. J’ai grandi en tant que fan des Lakers et je me fais drafter par Boston. Là je me dis oh non, mais c’est quoi ça… De toutes les équipes de la ligue il faut que ce soit Boston ? Mais une fois que j’ai appris à connaître l’histoire de la franchise et la tradition, j’ai commencé à trouver ça cool.
Personne ne m’aime pas à L.A. Beaucoup ne savent même pas que je suis d’ici. Mais bon, je détestais Larry Bird quand j’étais gamin, donc je comprends. » Paul Pierce