Michael Beasley et Minnesota, la fin d’une histoire ?
Il fût un temps ou les espoirs des Wolves reposaient sur Michael Beasley (si si c’est vrai), une époque où ce dernier paraissait le plus talentueux(si si c’est encore vrai), mais avec les arrivés et éclosions des joueurs que vous savez, les espoirs envers celui-ci ont été revus à la baisse, c’est pourquoi aujourd’hui les Wolves ne se précipitent pas pour parler de l’avenir de Michael Beasley.
Après deux saisons de haut et bas avec les loups, il n’y a aucune garantie que Beasley soit de retour pour une autre saison. Son contrat exige que l’équipe pour le prolonger, lui une offre « qualifying offers » d’un peu plus de 8 millions $ pour conserver ses droits. Si les Timberwolves, déclinent cette offre, alors B-Easy se retrouverait « unrestricted free agent » et pourrait signer où bon lui semble à seulement 23 ans.
Beasley a parlé d’optimisme quant à son avenir ici, de manière décontractée :
» Je ne vais pas vraiment mettre trop de pensée dans tout ça, pas mettre trop d’énergie à spéculer sur mon avenir, parce que c’est une de ces choses que je ne peux pas contrôler. Je vais aborder mon été comme si j’allais revenir la saison prochaine, et je vais essayer de revenir dans la meilleure forme possible, et redevenir le meilleur joueur que j’ai pu être. »
Son plan est de continuer son travail d’été à Los Angeles avec l’ancien standout Norm Nixon, qui est devenu un mentor en quelque sorte pour le deuxième choixde la draft 2008.
Le travail est le mot d’ordre :
» Je shoote des millions de fois dans une journée, je dribble un million de minutes par jour(oui bon les maths c’est pas ça…). Il faut juste que j’aprenne différemment, prendre des rebonds en défense, bloquer les shoots, bien marquer mes adversaires… Il suffit de travailler dur pour être un joueur all-around. Pas seulement un marqueur et pas seulement un défenseur, non plus seulement un rebondeur, je veux être un joueur « all around ».
Il a ajouté:
» Si quelqu’un veut mettre en doute mon conditionnement, je les défie de venir travailler avec moi pour une journée. C’est dur. Je vais à la salle 4 fois par jour, j’y vais à 6 heures du matin, après ça, nous faisons de la boxe, ju-jitsu etc… Trois ou quatre jours dans la semaine, nous courons cinq, six miles sur la plage Barefoot de Santa Monica à Venice beach.
Rappelons que cette année, Beasley était la plupart du temps sur le banc et à concédé 9 minutes de temps de jeu de moins par rapport à la saison passée, il a globalement mieux tiré mais à nettement réduit son nombre de points, ne dépassant la barre des 20 points que 7 fois cette saison contre 32 fois la saison dernière.