[5 Keys] Jazz @ Spurs 2-5-2012
De match il n’y en a pas vraiment eu cette nuit à San Antonio, les Spurs l’ayant plié eu milieu du troisième quart temps (114-83 au final). Malgré tout, la suprématie des Texans sur cette rencontre fut magnifique et voilà les 5 clés de ce match.
1- MVP: Tony Parker
Comme au match aller, Tony Parker a rayonné sur tout le match et confirme qu’il fait bien partie du Top 5 des joueurs de la ligue (Top 3 pour moi).
Le plan anti-TP n’a pas fonctionné pour le Jazz, mais on se demande bien qui pourra un jour arriver à trouver une solution, car s’il ne marque pas, il sait trouver ses coéquipiers démarqués. Le système de Pop est tout simplement parfait pour lui. Il fini le match avec 18 pts à 6/10 (après avoir commencé à 1/5), 4 rbds, 9 passes & 1 seule balle perdue en 27 petites minutes.
2- Facteurs X: Kawhi Leonard & Danny Green
A la mi-temps, Tony Parker & Tim Duncan ne compilent « que » 12 pts à 5/11. Pas de problème pour San Antonio quand on a des joueurs sérieux et talenteux comme Kawhi Leonard & Danny Green qui apportent 25 pts à 9/12 dont 5/7 à trois points.
Le problème c’est que je n’évoque que leurs prouesses offensives … mais en défense, ce sont deux chiens qui ne lâchent rien … du bonheur pour Coach Popovich.
3- L’action du match: TP dans son art
[youtube id= »gR9aJ0RyZmc » width= »600″ height= »350″]
4- La Stat: San Antonio Injouable
La défense ses Spurs fut impressionnante ce soir … un match à regarder pour toutes les écoles de basket. Toutefois en attaque, deux stats furent vraiment marquantes à la fin du troisièmre quart temps et on fait des Texans un monstre incontrôlable pour les Mormons:
- 27 pts marqués sur contre attaque
- 9 paniers à trois points inscrits
5- La Stat²: le Jazz fut plus soft que prévu
Les joueurs du Jazz, Devin Harris en tête et Al Jefferson avaient annoncé qu’ils allaient jouer physique sur Tony Parker pour tenter de l’arrêter … il n’en fut rien ou presque. TP a pris seulement 6 « brins » … et oui, je me suis amusé à les compter ^^
Si Harris ne s’est pas privé de mettre des coups au lieu de se concentrer sur son jeu, Jefferson parraissait lui plus subjugué par les pénétrations de notre frenchy, le laissant même marquer alors qu’il pouvait le casser en deux sur certains drives … (c’est pas plus mal finalement).