Anderson Varejao conscient de sa chance d’être simplement en vie

Opéré du genou puis des poumons pour un caillot de sang, le Brésilien mesure sa chance d’avoir été soigné à temps.

Je réalisais la meilleure saison de ma vie et une semaine plus tard je suis à l’hôpital et j’aurais pu mourir. C’est dingue. Je suis vraiment chanceux. Des amis me disaient « oh mon dieu, j’ai un ami qui est mort d’un caillot de sang au poumon ». Puis, d’autres personnes me disaient la même chose… On commence à y réfléchir et et à réaliser que c’était plus sérieux que ce que je pensais. Une semaine après l’opération, j’étais chez moi à me dire que j’aurais pu être mort à l’heure qu’il est.

À 30 ans, Varejao tournait à 14,1 points 14,4 rebonds et 3,4 passes de moyenne et aurait sans doute été All-Star.

via Yahoo!Sports