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NBA Mock Draft by L’Echo des Parquets : N°4, Charlotte Bobcats

Kent Smith/Getty Images

L’équipe de l’Echo Des Parquets quitte momentanément les micros pour la plume : StillBallin, Guillaume et Lucas se glissent dans la peau des GMs le temps d’une mock draft. Dans quelques jours les franchises les plus hauts placées dans la draft vont en effet avoir la possibilité de se donner un énorme coup de boost jusqu’à pourquoi pas sortir leur équipe de leurs difficultés, grâce au renfort d’un des meilleurs jeunes joueurs désirant intégrer la grande ligue. Mais les erreurs seront cruelles et douloureuses dans ce moment crucial alors faire le bon choix devient une obligation qu’il n’est assurément pas facile de tenir. Joignons-nous à la réflexion pour quelques unes d’entre elles et voyons quels genres de voies devraient-elles suivre. Après Cleveland, Orlando et Washington, Charlotte entre en scène.

Guillaume (@GuillaumeBInfos)

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With the Fourth pick in the L’Echo Des Parquets’ NBA Mock Draft, the Charlotte Bobcats select…

C’est sans honte que je vous confesse qu’au moment où j’ai reçu la charge de traiter des Bobcats, je n’ai pu m’empêcher de laisser échapper un rire jaune. Manque de discernement témoin d’une réaction précipitée, puisqu’à tête reposée je réalisais finalement qu’on me demandait d’être ni plus ni moins que Michael Jordan himself le temps d’une mock draft. Si j’avais eu le choix, j’aurais préféré tant qu’à faire me glisser carrément dans les pompes de MJ le joueur plutôt que dans celles du dirigeant cinquantenaire beaucoup plus controversé. Mais je m’en contenterai, et m’active déjà pour vérifier si un de mes grands-parents n’aurait pas par hasard une boîte de cubains rangée dans un vieux tiroir. Que voulez-vous, faut bien rentrer dans le personnage.

De deux choses l’une. La mauvaise nouvelle, c’est que ressens déjà la pression de rentrer dans le costard d’un des plus grands bonhommes du basketball, et même le cigare que je viens d’allumer n’aide pas. La bonne, c’est que je me rends en fait compte que je pourrais très difficilement faire pire que lui dans ma prise de décision (on se rassure comme on peut quand son nom se retrouve lié à celui de Charlotte). Dans la conscience collective, les Bobcats sont instinctivement associés à la notion de médiocrité, dans une suite logique tout aussi cartésienne que ne le sont les intégrales de Wallis (avis aux amateurs). Les losers ultimes en somme, les cancres assis au fond de la classe près du radiateur qui comptent les secondes avant la douce délivrance de la sonnerie annonçant la récréation. Et sa Majesté n’est certainement pas étrangère à tout cela. Pourtant, une fois n’est pas coutume, Charlotte ne s’en est pas si mal tiré que ça durant la lottery.

Il est en effet de notoriété publique que cette cuvée 2013 s’annonce comme une des moins folichonnes de ces dernières années, et comme si ça ne suffisait pas le hasard est venu rajouter son grain de sel pour déterminer un ordre de choix qui, comble de l’ironie, n’arrange vraiment personne. Pas même Cleveland et ce deuxième first pick en trois ans. Aussi, connaissant le passé de Charlotte, et cette image d’éternels perdants qui leur colle à la peau, il faut bien s’avouer que l’on aurait difficilement pu imaginer plus douce délectation que d’enfin voir Charlotte choisir en premier l’année où, grossièrement, il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent. Un peu comme si on vous offrait le billet d’avion dont vous rêviez tant pour les Bahamas…pendant la saison des pluies.

A la place, Charlotte pourra se cacher un peu plus avec seulement ce quatrième choix, tant dans la chance de ne pas devoir tenter de gros paris que dans la justification du choix s’il s’avère manqué. Étant donné le niveau général de la draft et les prospects disponibles, on pourra difficilement leur tenir rigueur d’une grossière erreur, là où la critique sera à l’inverse toujours aussi vive sur un first pick. Être un premier choix de draft, c’est aussi devoir porter sur ses épaules un poids historique, sportif et médiatique, qu’importe le talent présent dans la draft en question (et il n’est vraiment pas certain que les épaules du futur élu soient assez larges cette année). C’est en ça que ce quatrième choix est une bien bonne affaire, moins de pression, mais toujours l’opportunité d’ajouter une belle plus-value dans l’effectif.

Mais pas d’emballement, je reste quand même le GM des Bobcats et cette chance éphémère a ses limites. La foudre ne tombe généralement pas deux fois au même endroit comme on le raconte, et il m’étonnerait fort que la destinée vienne à m’offrir sur un plateau d’argent un Ben McLemore ou un Nerlens Noel pour un quatrième choix. Élaguons les de ce fait de ma short list, histoire de ne pas altérer la réflexion (et de ne pas fonder de faux espoirs).

Quand je vois que Charlotte vient encore de signer une saison des plus médiocres (61 défaites), l’envie de tout envoyer balader me titille l’esprit. Mis à part la bonne dizaine de bras cassés dont je pourrais (ou non d’ailleurs, question de contrat) me séparer le plus vite possible, je me demande tout de même si je dois réitérer ma confiance aux jeunes joueurs que la franchise a draftés ces dernières années. Si je pars tout de même sur l’apriori que oui, aucun ne s’est non plus rendu indispensable dans l’effectif, et il serait dommage de passer à côté d’une belle affaire simplement pour le principe de ne pas remettre en question les anciens choix de la franchise. On ne va pas se mentir, on le saurait si Charlotte possédait des cadors intouchables.

Matthew Emmons/USA TODAY Sports

C’est en premier lieu à la possibilité Trey Burke que je pense. Kemba Walker, lottery pick en 2011, a connu une belle progression l’an passé mais l’on peut tout de même avoir de légitimes doutes sur sa capacité à être un meneur digne de ce nom, dans ce sens où son volume de jeu ne se limite finalement qu’à du scoring. Suffisant pour faire de Charlotte une équipe playoffable ? Pas sûr. Dans le même temps, Burke demeure le joueur de l’année en NCAA, excellent leader et malheureux finaliste du titre universitaire. Et s’il semble présenter un profil similaire à celui de Kemba (petit meneur, gros dribble, s’appuie beaucoup sur son jump shot), j’envisage tout de même la piste pour une bonne raison.

Le meneur de Michigan a démontré de belles qualités de playmaking la saison passée, et se débrouille sur pick & roll comme un poisson dans l’eau, tant pour servir ses camarades que pour se créer de bonnes opportunités. On ne peut pas non plus affirmer qu’il possède une first pass mentality, le garçon recherchera toujours ses propres points durant un match (plus de 18 points, et 14 tirs tentés de moyenne en tant que sophomore), mais les qualités aperçues sont pour le moins encourageantes, dans un domaine ou Kemba semble avoir atteint un certain plafond. Et pas un suffisamment haut.

Oui, mais il y a un mais (et pas qu’un d’ailleurs). L’adaptation de la NCAA à la NBA étant toujours très aléatoire, ces étincelles pourraient tout aussi bien s’éteindre une fois chez les pros, et le risque de se retrouver avec deux faux meneurs aux qualités de distribution limitées me paraît bien trop grand. De plus, je ne peux non plus passer à côté du fait que le jeu pratiqué par les Wolverines a sans doute aussi sublimé les qualités de playmaking du garçon : Burke évoluait dans un système entièrement voué au pick & roll (avec de bons intérieurs et une belle armada de shooteurs dans le périmètre) ainsi qu’à de la contre-attaque, les deux domaines où Burke allait chercher la majorité de ses passes. Un contexte bien différent l’attend à Charlotte, et il convient donc de rester prudent quant à ces bribes de gestion de jeu pourtant encourageantes. De ce fait, le jeu n’en vaut pas la chandelle, la potentielle marge de progression pour mon équipe n’est pas assez importante pour me convaincre, et faute de mieux disponible, je renouvelle ma confiance à Walker pour la saison suivante.

Il en va de même pour Bismack Biyombo, à qui je préfère laisser le job de pivot plutôt que de m’aventurer sur des sentiers risqués. Je pense notamment à Alex Len, dont la cote cette année est montée assez haute mais qui est pourtant loin de me convaincre. Encore beaucoup de déchets au poste bas (pourtant la base de son jeu), une dizaine de kilos manquant sur la balance à mon goût, et pas aussi bon défensivement que ce bon vieux Bismack. Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras, comme dit le proverbe, et Len demeure un de ces prospects sur le long terme, qui peuvent très vite virer en bonne surprise comme en énorme déception compte tenu du contexte dans lequel il sera placé.

Le cas de Cody Zeller est en revanche plus intriguant. Le pivot d’Indiana est un de ces joueurs que l’on peut qualifier d’intelligent, avec de bons instincts et qui sait prendre ce que la défense lui offre, mais ce sont ses aptitudes défensives qui me font hésiter. Une faiblesse intimement liée à un physique limité (petite envergure pour un pivot, et un manque de force évidement pour s’imposer sous les paniers). A l’inverse Biyombo est encore jeune (quoi que, avec ces histoires de passeports), et colle bien avec l’identité défensive qu’essaye de trouver Charlotte depuis peu. Et puis là encore, un 7e choix de draft (2011) loin d’être scandaleusement mauvais ça ne jette pas à la poubelle aussi rapidement.

Ce que je préfère en revanche envisager, c’est de pourquoi pas essayer Cody Zeller sur du poste 4. Même au niveau NCAA Cody s’est fait remuer dans la raquette, et sous peine de commencer à gagner un peu de poids on lui promet encore pire chez les pros. On ne peut néanmoins pas passer à côté du fait qu’il possède une excellente mobilité pour un intérieur, ce qui fut véritablement la clé de son succès face à de plus costauds intérieurs universitaires, et ma foi, la possibilité de former une raquette complémentaire intérieur solide défensif/intérieur mobile offensif n’est point pour me déplaire. Mais les questions autour de l’adaptation de son jeu en NBA me laissent tout de même réticent, et même une quatrième place de draft serait sans doute trop de pression à mettre sur ses trop frêles épaules. Cher payé un quatrième pick avec autant de « mais » et de « si ».

Cartant enfin la piste Otto Porter au profit du très prometteur Michael Kidd Gilchrist à qui je conserve bien évidement ma confiance, ma décision se portera au final entre les deux plus grosses cotes restantes du top 5 : Victor Oladipo et Anthony Bennett. (même si Olapido a déjà été sélectionné par mon confrère StillBallin au choix précédent, je le considère tout de même dans la réflexion. Dans le cas où il sera disponible le jour de la draft lorsque ce seront, pour le meilleur ou pour le pire, les vrais dirigeants qui seront aux commandes de la franchise plutôt que les rédacteurs de Basket-Infos)

Jamie Sabau/Getty Images

Et c’est presque une décision identitaire qu’impliquera la sélection de l’un ou l’autre, lorsque mon tour viendra de donner mon petit à papier à David Stern qui ira alors l’annoncer haut et fort sur le podium. Puisqu’en valeur absolue, les deux apportent finalement une plus-value assez similaire, si ce n’est pour le compartiment du jeu dans lequel ils le feront. Oladipo est défenseur confirmé, conscient de ses limites offensives mais pas non plus honteusement maladroit comme peut l’être un Tony Allen, et à l’inverse Anthony Bennett offrira plus de certitudes offensives mais avec cette fâcheuse tendance à s’économiser de l’autre côté du terrain. L’un comme l’autre auront sans doute un impact immédiat, et je me dois de creuser un peu plus que cela pour les départager.

En remontant à la politique de draft pratiquée par les Bobcats sur ces deux dernières éditions, l’objectif paraît plutôt clair : se construire une belle identité défensive. Que l’on justifie aisément en se rappelant que Charlotte a dépensé deux lottery picks dernièrement sur deux spécialistes défensifs et scoreurs occasionnels plutôt que l’inverse (MKG dans le périmètre et Bismack Biyombo à l’intérieur). La première option qui s’offre à moi, c’est de continuer dans cette voie en choisissant d’étoffer encore mon volume défensif en rajoutant les qualités d’Oladipo. Excellent intercepteur et contreur, capable de superbement aider en défense dans la raquette, et surtout un fantastique défenseur sur l’homme, Oladipo deviendra dans les années à venir (voir même encore plus tôt que ça) un spécialiste du genre parmi l’élite. Au même titre qu’un Avery Bradley, qu’un Tony Allen ou qu’un Thabo Sefolosha, et il partage d’ailleurs déjà avec le suisse cette capacité à rentrer les tirs longues distance ouverts, dans les corners ou en réception de passe.

L’avantage de l’arrière Indiana, c’est aussi d’apporter une bonne dose de maturité et du leadership, là où on ne pourra certainement pas dire la même chose d’un Bennett. Ultra athlétique, le bondissant Oladipo pourrait en définitive se révéler le parfait complément de Kemba dans le backcourt, et m’aidera sans doute dans cette acquisition de certitudes défensives. Surtout que de tous les meilleurs prospects de cette année, il est sans doute celui qui possède le plus de maturité dans son jeu.

Revers de la médaille, le garçon ne va pas pouvoir s’améliorer beaucoup (à priori, toujours prendre ces idées de potentiel avec des pincettes), et ressemble déjà beaucoup à ce qu’il sera à terme en tant que joueur accompli. Et puis, s’il était un parfait maillon d’une Princeton Offense extrêmement bien huilée chez les Hoosiers, les conditions seront différentes chez les Cats. Facile d’être le spécialiste défensif/scoreur occasionnel dans une équipe qui tourne bien, mais que se passera-t-il lorsqu’il lui sera demandé de beaucoup plus prendre ses responsabilités dans une attaque bien plus pauvre et plus brouillonne à Charlotte ? Si on s’en tient à ce qu’on a pu voir de lui dans ce genre de situation à Indiana, rien de bien satisfaisant.

A l’inverse, les capacités offensives de Bennett seraient des plus appréciables en Caroline du Nord. L’éventualité d’associer le mobile et capable en attaque Cody Zeller au solide roc qu’est Biyombo me plaisait, mais je peux faire encore mieux à ce jeu-là avec Anthony Bennett. Beau bébé, il est immensément plus solide tout en étant plus mobile. Le plus intéressant dans le fait de le sélectionner, c’est que je complète parfaitement ma raquette en ajoutant ce jeune de 19 ans, au potentiel encore très grand et pourtant déjà très accompli dans ses capacités offensives. C’est simple, il sait tout faire (shoot extérieur, un peu de poste, attaquer le panier, contre-attaque, etc.), et serait le Ying à un Yang qui lui ne sait pas faire grand-chose de ce côté-là du terrain (j’exagère un peu, mais c’est histoire de bien garantir l’effet).

Jeff Bottari/Getty Images

Et surtout, la différence primordiale avec Zeller, c’est que là où le pivot des Hoosiers souffrira toute sa carrière en défense des limites imposées par son physique, Bennett le possède lui le physique approprié, et c’est plus une histoire d’implication qu’autre chose. La défense (pour le moment assez exécrable, c’est vrai) de l’ailier d’UNLV se guérit avec l’âge et des coups de pieds au derrière, alors qu’on ne pourra pas faire pousser les bras de Cody.

Difficile de faire un choix, même après avoir dépeint les pour et les contre de chacun des cas, mais l’horloge tourne, et Michael va sans doute venir très bientôt réclamer son costume et son cigare. L’idée de continuer la construction d’une vraie identité défensive est pour le moins assez tentante, et je suis de plus en plus séduit au fil des lignes d’embarquer dans le navire Victor Oladipo et son talent indéniable de ce côté-là du terrain. Le voir plafonner très bientôt à un niveau maximum pas si différent d’aujourd’hui ne me dérange pas plus que ça dans l’absolu, surtout dans une telle draft où les vrais talents sont rares.

Mais l’équation devient différente si je dois considérer les deux prospects. Ca me dérange alors de prendre un joueur qui peut plafonner dans un futur relativement proche si c’est pour négliger un autre qui lui pourra réellement palier à ses faiblesses (ne serait-ce qu’en apprenant un minimum de rigueur défensive) et ainsi connaître une bien plus grande progression. Au moment de faire le bilan de ce que chacun peut m’apporter maintenant et ce qu’ils m’apporteront dans cinq ans (ou plus), la balance penchera toujours pour le beau bébé du Nevada. Là où j’imagine mal Oladipo exploser offensivement, devenir à terme un fantastique manieur de ballon et pouvant se créer son propre tir sur demande, je vois en revanche Bennett capable de faire de réel progrès, du fait de sa carrure, sa taille, sa mobilité et ses très long bras qui n’attendent qu’à être utilisés. Simplement apprendre à s’impliquer en défense, ce qu’on ne lui a pas enseigné à UNLV, où l’on fermait les yeux sur son manque d’efforts flagrant parce qu’on avait besoin de son talent et de ses points pour rêver du tournoi NCAA. Le garçon a d’ailleurs du passer toute sa vie à travers les mailles du filet, du fait qu’avec autant de talent offensif il n’a jamais eu besoin de s’activer plus que ça en défense pour impressionner les scouts, et ce depuis le lycée.

D’autant qu’on ne trouve pas des intérieurs aussi jeunes et aussi talentueux à tous les coins de rues, alors qu’on pourra toujours dénicher sur le marché un free agent vétéran prêt à se défoncer en défense, tout en rentrant deux trois shoots à l’occasion. Oui, Bennett me semble être le bon choix compte tenu du contexte. Au point d’ignorer un Ben McLemore ou un Nerlens Noel s’ils venaient à tomber jusqu’à moi ? Sans doute pas, mais j’aviserai en temps et en heure si la destinée venait à m’offrir une telle opportunité. Au point également d’ignorer un Thomas Robinson que les Rockets semblent vouloir brader pour accueillir Dwight Howard ? Sans doute pas non plus. Un peu comme Minnesota qui avait récupéré Michael Beasley en échange d’un second tour de draft, auprès d’un Miami en quête de place dans le salary cap pour Lebron je sais plus quoi. J’aurais ainsi la parfaite occasion d’obtenir un ailier fort jeune et encore très prometteur (même si dans un registre différent), tout en pouvant sélectionner Oladipo. Mais tout cela reste encore au stade de la rumeur, et je préfère ne pas tabler ma politique de draft là dessus. Pour le moment, je reste donc sur Anthony Bennett, à qui je m’apprête déjà à faire bosser sa défense. Après tout, tout le monde veut devenir un Cat, n’est-ce pas ?

 

With the Fourth pick in the L’Echo Des Parquets’ NBA Mock Draft, the Charlotte Bobcats select…

Anthony Bennett, University of Nevada Las Vegas

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4 réflexions sur “NBA Mock Draft by L’Echo des Parquets : N°4, Charlotte Bobcats

  • Basket Infos

    Je ne sais pas trop pourquoi mais je ne le sens pas du tout ce Bennett. Un intérieur de 2m ça me semble bien limite, surtout quand on voit sa défense, en NBA il va se faire martyriser. Pour moi c'est le parfait exemple de joueur qui peut dominer en NCAA mais qui n'existera pas en NBA. Y'a une telle différence physique. Et en 3 j'y crois encore moins.
    A voir

  • Guillaume (BI.com)

    Il est un peu petit pour un 4 c'est vrai, mais il possède une mobilité extraordinaire pour le poste tout en étant très très solide, et possède aussi une belle envergure et de très longs bras.

    Même en 4, son jeu c'est pas rester dans la raquette ou aller sans arrêt au poste bas, il va prendre la balle dans le périmètre, ou à 3-4 mètre du panier et attaquer le cercle, et ça peut se révéler très efficace même en NBA à mon sens.

    Après à voir comme tu dis, mais faut pas oublier non plus son énorme marge de progression possible encore. 19 ans et déjà très mature offensivement, y a des raisons d'y croire.

  • Pierre-Jean

    Les Cats drafteront Oladipo, j'en suis certains! Coaché par MJ il deviendra un franchise player et guidera l'équipe jusqu'au Playoffs!

  • Pierre-Jean

    Et je pense d'ailleurs qu'Oladipo sera élu meilleur rookie de 2013-2014. Pour moi le meilleurs pick de cette draft.

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