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Rookie ladder, semaine 23: le bilan de la saison régulière

La saison régulière est terminée, il est donc temps de dévoiler le 23e et dernier rookie ladder de l’année, dont le classement est définitif. Comme on vous le disait ce matin, notre voix va à Michael Carter-Williams pour le titre de Rookie of the Year, ce qui n’est pas illogique puisqu’il n’a… jamais quitté la tête de notre classement.

Plus largement, cette cuvée de rookies se sera fait remarquer par sa grande faiblesse, notamment en ce qui concerne les lottery picks, Anthony Bennett n’étant que l’exemple le plus spectaculaire d’une draft qui donnerait sans doute des résultats bien différents si elle se tenait maintenant. Dans l’ensemble, il est bien difficile de dire si cette classe 2013 contient en son sein une future star de la ligue : Oladipo, MCW et Burke, les plus réguliers cette saison, peuvent-ils devenir des franchise players ? Jusqu’où peut monter le surprenant Antetokounmpo ? Les Bennett, Porter et autres Len deviendront-ils un jour des joueurs dignes d’avoir été choisis dans le top 5 ? Seules les saisons prochaines peuvent nous le dire.

Un dernier mot sur ce classement, pour rappeler les critères qui nous ont guidés tout au long de l’année. Il ne s’agit pas exclusivement de regarder les stats (bien qu’elles soient l’indice le plus fiable et le plus visible), mais bien d’évaluer les rookies selon le contexte et les attentes placées en eux. Ainsi Cody Zeller se retrouve-t-il devant Ryan Kelly, malgré des stats inférieures, parce qu’il apporte son écot à une équipe qualifiée en playoffs. De la même façon, on a jugé plus sévèrement les joueurs choisis haut dans la draft que des rookies sortis « de nulle part » et que personne n’attendait à pareille fête.

 

1. Michael Carter-Williams (Philadelphie) [=]

Stats : 70 matches, 34.5 min, 16.7 pts, 6.2 rbds, 6.3 pds, 1.8 ints, 0.6 cts, 3.5 bps, 40.5% tirs, 26.4% 3pts, 70.3% LF

On vous l’a dit ce matin, Carter-Williams est, pour nous, l’incontestable rookie de l’année. Un succès complètement inattendu pour un joueur choisi seulement en 11e position : dans l’histoire, seuls Don Meineke (12e, 1953), Mark Jackson (18e, 1988) et Woody Sauldsberry (60e, 1958) ont été ROY en étant choisis plus bas. MCW a crevé l’écran dès le premier match de la saison, en rendant une incroyable copie face au champion sortant, le Heat : 22 pts, 7 rbds, 12 pds, 9 stls ! Une performance qui lui a permis de prendre la tête de notre classement, qu’il n’a plus jamais lâché, ajoutant 2 triple-doubles et 15 double-doubles à sa ligne de stats, dont les moyennes sont historiques (voir l’article de ce matin). Alors certes, la faiblesse incroyable de Phila a sans doute participé à gonfler ses stats, mais il n’est pas le seul des rookies à jouer dans une équipe faible. Son jeu est encore très perfectible (mauvais shooteur, moyen aux lancers, beaucoup de balles perdues, …), mais sa saison est une réussite incontestable.

 

2. Victor Oladipo (Orlando) [=]

Stats: 80 matches, 31.1 min, 13.8 pts, 4.1 rbds, 4.1 pds, 1.6 ints, 0.5 cts, 3.2 bps, 41.9% tirs, 32.7% 3pts, 78% LF

Dans un top 10 de la draft d’une faiblesse quasiment inédite dans l’histoire de la ligue, Victor Oladipo est l’un des seuls à avoir été au niveau attendu de lui. Choisi en 2e position par le Magic, l’ancien arrière d’Indiana a parfaitement confirmé ses qualités entrevues en NCAA : un gros impact physique, une excellente défense, un jeu offensif en progrès. Auteur d’un triple-double et de quelques belles perfs en attaque, il n’a pas encore trouvé sa place exacte dans le projet d’Orlando : jouera-t-il arrière, comme à la fac ? Ou le Magic compte-t-il sur lui en meneur, pour remplacer Jameer Nelson ? Avec Vucevic, il apparaît en tout cas comme l’avenir de la franchise. All-Star potentiel.

 

3. Trey Burke (Utah) [=]

Stats: 70 matches, 32.3 min, 12.8 pts, 3 rbds, 5.57pds, 0.6 ints, 0.1 cts, 1.9 bps, 38% tirs, 33% 3pts, 90.3 % LF

Année en montagnes russes pour Trey Burke, qui n’a pu commencer sa saison que fin novembre, mais qui a eu un impact immédiat sur une équipe du Jazz à la dérive. Efficace, vrai leader, Burke a fait taire en quelques semaines ce qui le pensaient trop petit pour driver une équipe NBA. Puis, l’hiver arrivant, le rookie wall est passé par là, et les perfs de l’ancien de Michigan ont commencé à décliner, avec même quelques très vilains matchs. Il a néanmoins conclu l’année en beauté cette nuit, avec 32 pts, 7 rbds et 9 pds contre Minnesota. Malgré cette irrégularité, Burke a déjà prouvé une chose importante : il a les épaules pour être titulaire en NBA. Nul doute que Utah, dont le projet est encore relativement flou, va construire autour de lui.

 

4. Mason Plumlee (Brooklyn) [=]

Stats: 70 matches, 18.2 min, 7.4 pts, 4.4 rbds, 0.9 pds, 0.7 ints, 0.8 cts, 1.1 bps, 65.9% tirs, 0 % 3pts, 62.6 % LF

Voilà une des très bonnes surprises de la saison. Le frère de Miles, sorti de Duke après un cursus universitaire complet, s’est fondu avec une facilité déconcertante dans le collectif ultra-expérimenté des Nets, profitant notamment de la fragilité de Kevin Garnett pour jouer une grosse vingtaine de matchs comme titulaire. Il n’a pas une grosse panoplie offensive, mais son efficacité est spectaculaire, et il se défend tout à fait honorablement en défense, à l’image de son gros contre dans le moneytime sur LeBron James. Il va découvrir les playoffs, ou son rôle sera incontestablement important. Un vrai steal pour un 22e choix.

 

5. Tim Hardaway Jr (New York) [=]

Stats: 81 matches, 23.2 min, 10.2 pts, 1.5 rbds, 0.8 pds, 0.5 ints, 0.1 cts, 0.6 bps, 42.8% tirs, 36.3% 3pts, 82.8 % LF

Autre steal, le fils de Tim Hardaway, et ancien coéquipier de Trey Burke à Michigan, s’est imposé comme l’une des rares satisfactions de la saison pourrie des Knicks. Un peu unidimensionnel, Junior se contente pour l’instant, avec un certain brio, de remplir un rôle de shooteur, notamment derrière l’arc, où il est le rookie qui prend le plus de shoots, derrière Burke. Quelques beaux cartons, avec une pointe à 29 pions. On ne se prononcera pas sur son avenir à New York, où l’effectif devrait bouger, mais il a lui aussi gagné sa place en NBA.

 

6. Gorgui Dieng (Minnesota) [=]

Stats: 60 matches, 13.6 min, 4.8 pts, 5 rbds, 0.7 pds, 0.5 ints, 0.8 cts, 0.9 bps, 49.8% tirs, 100% 3pts, 63.4 % LF

Vu comme ça, ses stats ne font pas franchement rêver. Mais il faut dire que l’ancien pivot de Louisville, champion NCAA l’an dernier, ne jouait que 7 ou 8 minutes jusqu’en mars. C’est à ce moment que les blessures de Pekovic et Turiaf lui ont permis de crever l’écran, avec des moyennes de 12 pts et 11.3 rbds depuis 18 matchs, et notamment un incroyable match à 22 pts et 21 rbds contre Houston. Un peu pataud, mais une grosse énergie, et une verticalité qui faisaient défaut à Minnesota. On espère pour lui que le retour de Pekovic ne freinera pas trop sa progression l’an prochain.

 

7. Kelly Olynyk (Boston) [+3]

Stats: 70 matches, 20 min, 8.7 pts, 5.2 rbds, 1.6 pds, 0.5 ints, 0.4 cts, 1.5 bps, 46.7% tirs, 35.4% 3pts, 81.1% LF

Kelly Olynyk a beau avoir un look discutable, il est monté en puissance tout au long de la saison, et l’a terminée avec des matchs à 25 pts/ 12 rbds, 28 pts/ 9 rbds et 24 pts/7 rbds/5 pds. Très bon attaquant, shooteur correct derrière l’arc, il peut encore étoffer son arsenal offensif. C’est plus compliqué en défense, où il a tendance à prendre énormément de fautes (3.2 en 20 minutes), ce qui explique en partie que son temps de jeu n’ait pas été plus important. Sa complémentarité avec Jared Sullinger est un bon point de départ pour la reconstruction des Celtics, plutôt en réussite avec leurs choix de draft ces derniers temps.

 

8. Cody Zeller (Charlotte) [=]

Stats: 82 matches, 17.3 min, 6 pts, 4.3 rbds, 1.1 pds, 0.5 ints, 0.5 cts, 1.1 bps, 42.6% tirs, 0% 3pts, 73 % LF

Décevant en début de saison, où il shootait n’importe comment (36.5% en novembre), le 4e choix de la draft est peu à peu monté en puissance, à l’image des Bobcats, se recentrant sur des choses plus simples et gagnant en efficacité. Zeller est désormais bien installé dans la rotation des Bobcats, où il offre une petite vingtaine de minutes pleines d’énergie en sortie de banc. Evidemment, on est encore loin d’avoir affaire à celui qui était annoncé comme un possible first pick et un redoutable attaquant poste bas, mais sa progression linéaire est plutôt de bon augure. Lui aussi va se frotter aux joutes de la postseason.

 

9. Pero Antic (Atlanta) [-2]

Stats: 50 matches, 18.5 min, 7 pts, 4.2 rbds, 1.2 pds, 0.4 ints, 0.2 cts, 1.1 bps, 41.8% tirs, 32.7% 3pts, 75.8 % LF

On n’avait vraiment pas vu venir le pivot macédonien, vieux rookie de 31 ans, déniché par Atlanta pour faire souffler Al Horford, qu’il a remplacé dans le 5 après la blessure du Dominicain. Pivot atypique, shootant énormément à 3-pts (3.5 tentatives par match, 58% de ses tirs !), Antic a été précieux pour freiner la dégringolade des Hawks, malgré une nette baisse de régime sur les dernières semaines, et finalement décrocher in extremis une place en playoffs, qu’il aura la chance de découvrir. Il peut faire une belle petite fin de carrière en NBA.

 

10. Giannis Antetokounmpo (Milwaukee) [-1]

Stats: 77 matches, 24.6 min, 6.8 pts, 4.4 rbds, 1.9 pds, 0.8 ints, 0.8 cts, 1.6 bps, 41.4% tirs, 34.7% 3pts, 68.3 % LF

Sans doute pas encore prêt pour tenir 82 matchs à haute intensité -il n’avait jamais joué à très haut niveau -, Giannis Antetokounmpo a manqué sa fin de saison. Mais le très jeune rookie grec (19 ans) n’en reste pas moins l’une des révélations de l’année, au point que certains estiment qu’il aurait dû être choisi dans le top 3 de la draft. En le récupérant avec le 15e choix, les Bucks ont sans aucun doute fait une belle opération, et mis la main sur un joueur au potentiel énorme, ultra athlétique et spectaculaire. Ce n’est pas un grand attaquant pour le moment (record à 16 pts cette année), mais ses meilleurs matchs ont mis à lumière ses qualités de couteau-suisse, à l’aise en défense comme en transition, à l’image d’une performance très complète contre OKC (13 pts, 11 rbds, 5 pds, 2 stls, 2 cts).

 

 

 

Mentions

Saison très compliquée pour les lottery picks de la draft 2013, qui vont plutôt garnir le paragraphe suivant. A part MCW, Oladipo, Burke, Olynyk et Zeller, présents dans le top 10, seuls deux joueurs méritent d’être dans les mentions. Le rugueux pivot néo-zélandais d’OKC Steven Adams s’est révélé être un très bon back-up pour Kendrick Perkins, malgré une baisse de régime progressive. La saison de Ben McLemore aux Kings s’est elle révélée assez tortueuse, avec une maladresse chronique (37.3% sur l’année) et un hiver catastrophique. Titulaire depuis le All-Star break, il tourne depuis un mois à plus de 11 pts de moyenne et vient de coller 31 pts aux Suns. Prometteur pour la suite.

Il est toujours difficile pour un rookie de s’imposer dans la rotation d’une équipe jouant les premiers rôles de la ligue, où les rôles sont en général déjà bien déterminés. Certains des jeunes de la cuvée 2013 ont pourtant réussi cette performance, à l’image de Mason Plumlee ou Steven Adams, mais aussi, du meneur de Memphis Nick Calathes, auteur d’un très bel intérim pendant la blessure de Mike Conley, ou encore de l’arrière/ailier des Bulls Tony Snell, plutôt bon quand il a eu du temps de jeu. On citera également Andre Roberson (OKC) ou Reggie Bullock (Clippers), qui ont répondu présent quand leurs coachs ont eu besoin d’eux. Tous ces garçons découvriront les playoffs, sans que leur temps de présence sur le parquet soit vraiment garanti.

Certains des rookies les plus en vue de la saison ont été des prospects totalement inattendus, choisis au second tour de la draft, voire non draftés. Nate Wolters (#38) s’est ainsi imposé dans la rotation, certes très faible, de Milwaukee, et en a même été l’un des joueurs les plus efficaces dans son rôle de combo guard. Dommage que sa saison ait été écourtée par les blessures. Dans le même genre, Hollis Thompson (non drafté) a réussi à être plus de quarante fois titulaire à Philadelphie, où il n’avait certes pas beaucoup de concurrence, en faisant valoir ses talents de shooteur (40.2% derrière l’arc). Même réussite pour Ryan Kelly (#48) aux Lakers, qui a profité de l’hécatombe touchant l’effectif pour imposer son style d’ailier-fort qui s’écarte, et réaliser quelques beaux cartons (trois fois au-dessus de 20 pts). Belle saison également pour Matthew Dellavedova (non drafté) à Cleveland, où il a joué presque tous les matchs et su s’imposer lorsque Kyrie Irving était blessé, et Phil Pressey (non drafté) à Boston. Enfin, on a vu apparaître en fin de saison Ray McCallum (#36) à Sacramento, qui a fini sur 13 matchs à x et x, et une sacrée tendance à arroser.

Quelques mentions, pour finir, pour des joueurs ayant montré des choses prometteuses et qu’on aimerait revoir plus longtemps : le pivot des Pelicans Jeff Withey, les meneurs Isaiah Canaan (Houston) et Shane Larkin (Dallas) ou encore le shooteur Robbie Hummel (Minnesota).

 

Les flops

Beaucoup de joueurs choisis haut dans ce paragraphe, ce qui est un signe à la fois de l’homogénéité de la draft et des choix discutables effectués par les GM, même si certains se révèleront sans doute efficaces sur le long terme. L’exemple même en est, bien évidemment, ce pauvre Anthony Bennett, qui a traîné toute la saison le fardeau d’un first pick inattendu. Ajoutée à une blessure mal soignée, du poids à perdre et une gestion erratique de l’effectif, cette pression a entraîné ce qui est peut-être la pire saison jamais réalisée par un premier choix de draft : 4.1 pts, 2.9 rbds à 35.2 % et 24.5 % à 3-pts… Avant de se blesser et de manquer le dernier mois de compétition, il avait néanmoins fait un mois de février encourageant (7.2 pts, 4.8 rbds). Ca ne pourra qu’être mieux l’an prochain.

Au rayon des flops, Otto Porter (#3) et Alex Len (#5) ont aussi des arguments à faire valoir. Tous les deux blessés en début de saison, ils n’ont jamais pu se faire leur place dans des effectifs déjà lancés dans la course aux playoffs. On les a vus apparaître et disparaître de la rotation , avec quelques bons passages mais rien de concluant sur la durée. Si on savait que le pivot américano-ukrainien de Phoenix était un pari sur le long terme, la situation est plus préoccupante pour l’ailier des Wizards, annoncé comme NBA ready et pourtant oublié en fin fond de rotation.

Ce n’est pas bien terrible non plus pour deux arrières arrivés en NBA avec une belle réputation, CJ McCollum (#10) et Shabazz Muhammad (#14). L’un comme l’autre n’ont jamais eu la confiance de leurs entraîneurs, malgré quelques bon passages. Une situation d’autant plus surprenante que les bancs de Portland et Minnesota font partie des pires de la ligue. La situation est tout aussi curieuse pour Kentavious Caldwell-Pope (#8), titulaire efficace et meilleur défenseur des Pistons pendant l’hiver, malgré des pourcentages très moyens, puis soudain sorti de la rotation en février. De nouveau titulaire cette nuit, il a inscrit 30 pts! Ces trois-là ont de vraies qualités, qu’on espère voir plus souvent l’an prochain.

La saison a également été difficile pour la plupart des rookies internationaux, qu’ils soient tous jeunes ou plus expérimenté. L’année a été catastrophique pour Luigi Datome à Detroit, qui parle déjà de rentrer en Europe, et pour Nemanja Nedovic (Golden State, 20.5% de réussite en 24 matchs !), qui ont passé la plus grande partie de leur temps à cirer le banc. Idem pour Sergey Karasev à Cleveland, annoncé comme un grand talent et presque jamais utilisé. Pour d’autres, l’année a alterné entre bonnes performances ponctuelles et longues périodes au frigo, à l’image de Vitor Faverani à Boston, excellent en début d’année (12 pts, 18 rbds, 6 cts pour son deuxième match !) puis disparu de la circulation, de Miroslav Raduljica (Milwaukee) ou de Rudy Gobert (Utah), qui a été bon quand il a joué, mais que le Jazz a décidé de développer ailleurs qu’en match… Même remarque pour Dennis Schroder à Atlanta, qui semble néanmoins se faire une place plus nette ces derniers temps. Gal Mekel a lui eu la malchance de se blesser alors qu’il faisait de belles choses à Dallas.

Pour finir, on reste encore un peu circonspect sur la carrière à venir de joueurs présentés comme de potentiels steals : le très athlétique Archie Goodwin (Phoenix), visiblement pas prêt pour la NBA malgré ses 29 pts cette nuit, l’ailier Solomon Hill, choisi à la surprise générale au premier tour par Indiana, ou encore le meneur Peyton Siva (Detroit), excellent en NCAA avec Louisville.

 

Les blessés

Il aura fait l’honneur de cette rubrique toute l’année, malgré toute une série de fausses annonces sur son retour : Nerlens Noel  sera encore rookie l’an prochain, et devrait être une des attractions de la saison pour Philadelphie.

 

En bonus, les records de la saison:

Moyennes

Points : Michael Carter-Williams, 16.7 pts

Rebonds : Michael Carter-Williams, 6.2 rbds

Passes : Michael Carter-Williams, 6.3 pds

Interceptions : Michael Carter-Williams, 1.8 stls

Contres : Rudy Gobert et Jeff Withey, 0.9 cts

Balles perdues : Michael Carter-Williams, 3.5 bpds

Adresse générale : Mason Plumlee, 65.9 %

Adresse à 3-pts : Hollis Thompson, 40.1 %

Adresse aux lancers : Robbie Hummel, 93.8 %

 

Record sur un match

Points : Victor Oladipo, 35 pts (vs Chicago, le 15 janvier)

Rebonds : Gorgui Dieng, 21 rbds (vs Houston, le 20 mars)

Passes : Trey Burke, 15 pds (vs Golden State, le 6 avril)

Interceptions : Michael Carter-Williams, 9 stls (vs Miami, le 30 octobre)

Contres : Vitor Faverani, 6 cts (vs Milwaukee, le 1er novembre)

Balles perdues : Victor Oladipo, 9 bpds (vs Dallas, le 16 novembre)

 

Voilà, c’était le dernier rookie ladder de la saison, merci de nous avoir suivis depuis novembre! On gardera un oeil attentif sur les rookies qualifiés en playoffs, et à l’année prochaine pour les autres!

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