Kenneth Faried n’a aucune pression
Kenneth Faried a donc signé un joli contrat d’environ 50 millions de dollars sur 4 ans (il peut monter jusqu’à 52 millions de dollars en fonction des primes) avec les Denver Nuggets et forcément il est heureux
C’est un bon sentiment. Je suis un Nugget. Je reste un Nugget. Je suis simplement enthousiaste pour ce contrat et pour la saison qui s’annonce.
Il n’était pas vraiment préoccupé par la date limite fixée au 31 octobre pour prolonger.
Je n’étais pas inquiet. J’étais simplement concentré sur ce que je devais faire cette année de toute façon. Je savais que je devais arriver concentré et prêt à mener cette équipe.
Toutefois un contrat comme ça c’est souvent une pression supplémentaire, mais apparemment pas pour lui.
Non, je ne m’en soucie vraiment pas. Il n’y a pas de pression. C’est simplement de l’argent. J’aime le basket donc je vais continuer de jouer comme je le faisais.
Et son coach Brian Shaw ne se fait pas de souci, principalement en raison du type de jeu de l’intérieur.
Ce n’est pas le genre de joueur où si son tir ne rentre pas ça affecte son jeu. Ce qu’il apporte tous les soirs c’est quelque chose qu’il peut faire avec régularité à chaque rencontre. Il peut jouer dur, amener de l’énergie, et s’il fait ça, son jeu suit. Quand il n’est pas en forme où il qu’il n’apporte pas son énergie, c’est là qu’il peut y avoir des soucis.
Et l’intérieur est très en confiance.
Mon esprit est relaxé. Je viens de remporter une médaille d’or. Je sais ce qu’il faut pour gagner. Désormais je sais comment mener et comment être un leader. Donc je vais juste jouer et faire ce que j’ai à faire pour mes coéquipiers, et travaillé dur tous les jours comme je l’ai toujours fait et ne pas me reposer certains soirs, ce qui n’est pas dans mes habitudes. Faire ce que j’ai fait pour décrocher ce contrat et pour m’assurer que nous remportions des matchs.