Les « papys » des Rockets font le boulot
Avec la blessure de Patrick Beverley, les Houston Rockets ont dû donner les clés de la mène aux vétérans Pablo Prigioni et Jason Terry, 37 ans tous les deux. Dans une conférence Ouest où les meneurs de grand talent sont légion, pour le moment ils font du très bon boulot comme le soulige James Harden, qui les surnomme les papys.
Les papys ont fait du bon boulot toute l’année (sourire). Sérieusement ils ont fait du bon boulot pour tout faire comme il faut, les schémas défensifs, mettre des shoots, être des leaders, être prêts chaque soir et nous porter match après match.
Ils sont complémentaires l’un de l’autre. Jet peut garder un peu le ballon et il peut mettre des shoots. Pablo, en tant que créateur, il est un peu plus en possession du ballon, mais il peut aussi mettre des shoots. Ils se complètent et ils s’aident beaucoup. Ils nous aident aussi parce qu’en tant que meneurs ils voient des choses sur le terrain. James Harden
Terry, qui a tourné à 7.8 points à 46.7% dont 47.1% à trois points au premier tour, voit ce surnom comme une marque de respect. De part leur âge et leur expérience, les deux inspirent le respect du vestiaire, et ils ont un rôle important au-delà de leurs performances.
Je pense que c’est un facteur de respect. En tant que les deux plus vieux de l’équipe, nous avons comme un effet apaisant. Ces jeunes gars sont plein d’énergie, ils sont dynamiques, mais nous vétérans, nous sommes calmes, peu importe le résultat nous restons ainsi. Terry
C’était une bonne blague. Je pense que Jason et moi essayons de faire de notre mieux pour essayer de mener ces jeunes gars. Nous nous donnons à 100%, nous essayons de jouer intelligemment, de motiver et soutenir nos coéquipiers. C’est pour cela que nous sommes dans cette équipe. Prigioni