D’Angelo Russell: « Quand nous perdons c’est comme si nous trahissions toute la ‘Laker Nation’ »
Sélectionné en numéro 2 de la dernière draft, les attentes sont grandes concernant D’Angelo Russell. De plus, l’ancien pensionnaire d’Ohio State n’a pas vraiment convaincu en Summer League, de quoi mettre encore un peu plus de pression sur les épaules du nouveau meneur de jeu des Lakers.
C’est une question d’arriver à se mettre en place. Beaucoup de ces ballons perdus viennent d’une prise de risque et parfois ça marche, mais à ce niveau c’est une question de s’installer et d’être patient. Il faut ralentir le jeu en tant qu’équipe et être patients.
En effet, à Las Vegas, Russell a perdu 5.8 ballons par match pour seulement 3.8 passes et un pourcentage indigne de 31.7%, pas de quoi enflammer la « Laker Nation » pour qui il dit désormais jouer.
Quand nous perdons ce n’est pas comme si nous abdiquions ou que nous abandonnions l’équipe, c’est comme si nous trahissions toute la « Laker Nation ». C’est une communauté mondiale. Je ne dirais pas que c’est une énorme pression, c’est plus une question de faire le taf.
Je ne me préoccupe pas vraiment de mon numéro de choix à la draft. Je veux que l’on soit une meilleure équipe. Tout finira par se mettre en place.
Le joueur a l’air bien confiant. À lui de confirmer sur le terrain que Mitch Kupchak a bien fait de le retenir le soir de la draft en lieu et place de l’intérieur aux très bonnes mains Jahlil Okafor.
Source : Boston Globe