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Gilbert Arenas réfute la version de Caron Butler et raconte la sienne

Dans son livre, Caron Butler raconte la fameuse scène des pistolets dans le vestiaire des Wizards avec Gilbert Arenas et Javaris Crittenton, mais pour Arenas ce n’est pas ce qui s’est passé. Si le ton est bien monté pour une histoire d’argent et de cartes dans l’avion, où Arenas n’était pas directement impliqué au début, tout ne s’est pas vraiment déroulé comme raconté par Butler selon l’ancien meneur. Sur Instagram il a raconté sa version des faits (supprimés depuis) et surtout ce qui s’est passé deux jours après le vol.

Je respecte le livre de Caron Butler et j’en ai eu une copie mais l’histoire est fausse.

Quand l’avion a atterri, il me disait que si on avait été dans la rue, il m’aurait cassé les genoux. Je lui ai dit ‘je vais te donner des putain de flingues lundi’. Nous étions samedi et le dimanche c’était repos. Je suis allé à la salle le lundi à 8h et j’ai posé quatre flingues non-chargés sur sa chaise avec un mot qui disait ‘choisis-en un’. Personne ne m’a vu toucher un pistolet où les mettre où ils étaient. Quand Crittention est arrivé, je m’entraînais. Crittenton, DeShawn Stevenson, Andray Blatche et Dominic McGuire étaient les seuls dans le vestiaire quand je suis entré dedans. Crittenton a dit ‘qu’est-ce que c’est que cette merde ?’ Je lui ai dit ‘tu as dit que tu allais me tirer dessus, alors vas-y choisis-en un, choisis celui avec qui tu veux me tirer dessus comme tu l’avais dit’ Il m’a rétorqué ‘je n’ai pas besoin de cette merde.’ C’est là que Caron est entré dans le vestiaire en compagnie d’un préparateur.

Crittenton a enlevé les flingues de sa chaise et les a lancés par terre, touchant le pied du préparateur. Il a couru à la salle d’entraînement et à ce moment là, Crittention a sorti un petit pistolet en argent, le même que celui d’Eddie Murphy lorsqu’il tire sur un petit doigt de pied (référence au film Harlem Nights). Mais je ne vais pas dire s’il était chargé ou pointé sur moi, pas besoin d’enfoncer un homme qui ne peux pas se défendre. Disons juste que j’ai commencé à rire et j’ai dit ‘range ce flingue d’Harlem Nights, regarde ceux-là, je te les donne, imagine ceux que j’ai à la maison, donc tu peux les garder.’ Voilà c’est tout. JaVale a ramassé mes armes et les a portés à ma voiture. Caron a caché le flingue de Crittenton dans le vestiaire. J’étais dans le jacuzzi, donc Crittention y est allé avec moi et nous avons commencé à discuter. Il m’a dit que je jouais trop et moi je lui ai répondu qu’il était une tête brûlée.

Via Washington Post

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