De grosses écuries étaient sur Jason Terry

Jason Terry a décidé de signer aux Milwaukee Bucks il y a quelques jours alors que son départ des Rockets était annoncé déjà depuis plusieurs semaines. Le vétéran intéressait pourtant des prétendants comme il l’a confié sur SiriusXM NBA Radio, où il a expliqué son choix de rejoindre le Wisconsin et son ancien coéquipier Jason Kidd.

Il y avait plusieurs prétendants sur lesquels je me suis penché sérieusement, dont deux étaient en finales (Les Cavaliers et les Warriors). J’ai appelé Pop, San Antonio était un autre prétendant. Ils étaient mon pire ennemi pendant 8 ans lorsque j’étais à Dallas, mais s’ils vous appellent, vous décrochez. Aucun doute là-dessus. Puis j’ai toujours pensé à revenir et finir où tout a commencé, à Atlanta. J’aime ce qu’ils ont fait, puis j’ai aussi sérieusement considéré Boston, bien qu’il n’y ait pas eu de discussion. Puis j’ai appelé mon pote Luke (Walton) je lui ai dit que s’il avait besoin d’aide, besoin du leadership d’un vétéran, avec aussi la possibilité de coacher à la fin de mon contrat. Il a gentiment décliné et je respecte ça. Ils avaient déjà le nombre maximum de joueurs dans leur effectif. C’était un processus difficile, c’est toujours dur d’être free agent, surtout vers la fin de votre carrière, parce que vous savez que vous n’êtes pas vraiment une priorité. On a besoin de vos services mais les gens attendent avant de frapper à votre porte pour vous faire venir. Jason Kidd était là-bas, et il était totalement en adéquation avec ce que je crois, c’est-à-dire gagner, être une influence positive dans le vestiaire sur les jeunes gars et il estime ses vétérans, et il sait à quel point je peux être important pour lui, à la franchise des Bucks et pour notre succès cette année en tant qu’équipe. J’ai tellement de respect pour Jason, sa carrière, ce qu’il a fait et il y a bien spur aussi ce que nous avons accompli ensemble à Dallas. Je ne pouvais pas dire non. Il m’a dit qu’il avait besoin de mon leadership et de quelqu’un capable de emttre des gros shoots en fin de rencontre. » Terry