Une soirée sans pour les Rockets
Après une heure et demi de route, le premier bus des Rockets arriva à Baton Rouge. Le second, quant à lui, contenait James Harden, Lou Williams et Mike D’Antoni et arrivait à peine une heure avant le coup d’envoi. Rien d’alarmant sur le coup, et puis le match débuta…
L’équipe avait du mal à démarrer. Défensivement, les Pelicans réussissaient un tir sur deux dans le premier quart-temps. En autorisant un pourcentage aussi haut, les Rockets égalisaient leur plus gros total de points encaissés en une mi-temps : 68. Cependant, les joueurs et le coach ne se penchent pas vers ce prétexte pour justifier ce trou d’air.
C’est une belle excuse et nous ne devrions pas la sortir de notre chapeau. Il y a de nombreuses personnes dans le monde qui vivent des choses bien plus difficiles que nous assis 30 minutes de plus dans un bus. On ne peut pas emprunter cette voie, je ne pense pas que ce soit juste. Nous devons prendre du recul sur ce qui nous arrive, ce que nous n’avons pas fait. Ce sont des choses qui arrivent. Mike D’Antoni
Face à un Anthony Davis et Solomon Hill déchaînés, les Rockets n’étaient simplement pas prêts à subir une telle agressivité.
Ils sont arrivés et ont beaucoup de pression très tôt, et ont très bien défendu. Ils ont été très adroits. Il faut leur donner du crédit, c’est l’un de ces matchs où nous ne pouvions tourner les choses en notre faveur. Nous sommes restés dans le match jusqu’à la fin et avons joué dur, mais ils ont récupéré la victoire. Le mérite leur revient. Patrick Beverley
Via ESPN