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Brad Stevens : « Jonas Jerebko a été une des principales raisons de notre victoire »

En l’absence d’Isaiah Thomas, les joueurs des Celtics devaient combler ce vide collectivement et certains joueurs devaient élever leur niveau de jeu. Deux l’ont fait tout particulièrement, tout d’abord Marcus Smart, homme du match avec ses 27 points à 7/10 à 3-pts, mais aussi le Suédois Jonas Jerebko. Sorti de nulle part, ce dernier a grandement contribué au comeback des siens en seconde mi-temps. Il a signé 10 points à 4/4 dont 2/2 à 3-pts et 5 rebonds en seulement 13 minutes de jeu pour un plus/minus de 22 !

« Mon boulot c’est toujours d’être prêt lorsqu’on appelle mon numéro. C’est tout ce que je peux faire, c’est tout ce que je contrôle. Donc c’est ce que je fais. » Jerebko

Son boulot il l’a fait à merveille et mieux encore. Avec Marcus Smart il est celui qui a boosté l’équipe alors qu’elle était très mal embarquée.

« C’est un mec qui écarte le jeu, il est capable de mettre ces shoots lorsque le ballon est ressorti sur lui. Mais ce qui a été encore plus important, ça a été son énergie en défense. Il a contré un tir, pris quelques rebonds, gardé le ballon en vie sur plusieurs actions. Nous avions besoin d’un petit coup de boost. Je pense que parfois les gars qui n’ont pas beaucoup joué ont une vraie énergie, un désir d’aller sur le terrain et de tout lâcher. Parfois vous vous videz rapidement, mais il a fait du très bon boulot pour rester en très bonne forme et a gardé le rythme. Sans Gerald (Green), nous ne gagnons pas la série face à Chicago. Sans certains joueurs de notre banc nous ne gagnons pas face à Washington. Et ce soir Jonas a été une des principales raisons de notre victoire. » Brad Stevens

« C’est vraiment un exemple pour les jeunes joueurs, surtout ceux qui sortent du banc. Vous ne savez jamais quand vous allez avoir votre chance. Il est resté prêt et ça nous a boostés. » Al Horford

L’ailier a notamment rentré un shoot clutch à 30.3 secondes de la fin qui a permis aux Celtics de passer devant, 108-106.

« J’ai vu Avery me regarder, donc je me suis préparé à shooter. J’ai confiance en mon shoot et je shoote vraiment bien. J’ai juste dégainé et je savais que ça allait rentrer. »

« Je veux juste qu’il soit prêt à shooter parce que nous allons lui donner le ballon, c’est certain. » Bradley

Via Boston Herald

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