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Karl-Anthony Towns : « C’est pour ça qu’on l’appelle Jimmy Buckets »

Leçon n°1, Tom Thibodeau n’est jamais content. Mais bon, une petite victoire à New Orleans pour conclure une série de 3 succès, ça se prend même si ça a été dur et que l’équipe a gagné ses 5 matchs de la saison (5V-3D) avec un total cumulé de 17 points d’avance, non ?

« Je ne suis jamais content. Je ne suis jamais content, d’accord ? Mais c’est du progrès et c’est qu’il faut retenir. » Tim Thibodeau via Star Tribune

« Thibs n’est jamais content. N’écrivez pas ça, c’est de la fake news. Je le connais mieux que vous. Il ne va pas être content, mais je vais vous dire, nous nous le sommes tous. Le vestiaire est très content. On est confiants. Bien sûr on doit continuer sur 82 matchs, on doit continuer à s’accrocher. C’est différent. Notre niveau de confiance est différent par rapport à mes débuts à Minnesota. On fait ce qu’il faut pour gagner. » Karl-Anthony Towns

Plus précisément, Jimmy Butler a fait ce qu’il fallait pour gagner hier, avec un 2+1 validé à 34.2 secondes de la fin. Car handicapé par les fautes, Towns n’a signé que 2 points. Pourtant jusqu’à la dernière minute du match, l’ancien Bull avait raté toutes ses tentatives (4). dans le 4ème quart. Son équipe (22 ballons perdus) ayant gâché 12 points d’avance à 8’07 de la fin et encore 6 à 4’16, Butler a inscrit à lui tout seul les 6 derniers points du match après deux égalisations des Pelicans (59 points du duo Anthony DavisDeMarcus Cousins) dans les 2 dernières minutes et demi.

« C’est fou parce que je mets les shoots difficiles mais pas ceux ouverts. Mais on gagne. C’est tout ce qui m’intéresse. » Jimmy Butler

« C’est pour ça qu’on l’appelle Jimmy Buckets et qu’il est l’un des joueurs les plus clutchs de la ligue. » Karl-Anthony Towns

En défense face à lui sur son shoot décisif, son ancien coéquipier E’Twaun Moore.

« Parce que j’ai joué avec lui je sais combien il a envie de m’empêche de scorer. » Jimmy Butler

Et cela a même rappelé des mauvais souvenirs à Andrew Wiggins, de son côté auteur d’une interception précieuse pour plier le match après le fameux shoot.

« Il m’a eu comme ça lors de ma saison rookie, mais de l’autre côté du terrain. Il m’a fait sauter et hop, faute, 2 lancers-francs, victoire. » Andrew Wiggins

Cette saison, Minnesota s’est pour le moment spécialisé dans les victoires d’une courte marge, avec 4 victoires pour 0 défaite lors de rencontres décidées de 3 points ou moins. La saison dernière, ils étaient restés bredouilles 10 matchs sur leurs matchs décidés de 4 points ou moins.

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