Pacers – Sixers : ça cogne déjà comme en playoffs !
Si l’on s’en tient au classement actuel, les Pacers, 3èmes à l’Est, rencontreraient les Sixers, 6èmes, au premier tour des playoffs dans quelques semaines. Si c’est le cas, ça nous promet une série bien rugueuse.
« Il faut être prêt à jouer dur quand vous jouez ces gars, surtout chez eux, parce que c’est une équipe physique. Je sais que si on les joue au 1er tour, ça va être une série physique. » Al Jefferson
« On savait que ça allait être un match physique. Nos gars se sont vraiment bien battus ce soir. On parle de ça depuis le retour du All-Star break. Ils sont dans la course aux playoffs, nous aussi. On savait que ce serait physique comme ça. C’est la période de la saison. » Nate McMillan
Hier Indiana a réussi à tenir son rang – même s’il n’y a eu que 3 points d’écart à la fin, 101-98 – face à une équipe qui n’avait pourtant pas encore perdu à la maison en 2018.
« On essaie de donner l’exemple tôt. On ne blague pas, on va venir vous chercher. » Lance Stephenson
La messe est néanmoins loin d’être dite à l’Est, puisque les deux équipes cherchent encore à sécuriser l’avantage du terrain. Pour cela, il faut terminer dans les 4 premiers.
« C’est une jeune équipe qui joue dur. Je pense qu’ils s’alimentent aussi du fait qu’on ne les a pas considérés comme une équipe valable ces dernières années. » Myles Turner
En saison, Indiana a désormais l’avantage 2-1. Le 3 novembre, J.J. Redick et ses 31 points et un triple-double de Ben Simmons avaient permis aux Sixers de triompher 121-110. Les Pacers avaient pris leur revanche le 3 février lors du 1er back-to-back en carrière de Joel Embiid, 100-92.
« C’est une équipe tenace. Ils se battent à chaque match et ils continuent à jouer dur. C’est ça qui les rend difficiles à jouer. Ils ont assemblé une très, très bonne équipe. Brett Brown est un sacré bon coach. » Thaddeus Young
« Ils ont toujours joué physique. Il faut juste rester calme et jouer votre jeu. Mais c’est une super équipe. J’aime comment ils jouent ensemble. Ce soir on a réussi à gagner. » Lance Stephenson
via Indy Star