Première depuis 2013 pour les Nets; Sean Marks : « On n’utilise jamais le mot tanking »
Les Nets auront 2 bonnes raisons de ne pas tanker la saison prochaine : construire la culture de la gagne qu’ils souhaitent mettre en place depuis l’arrivée de Sean Marks et Kenny Atkinson aux commandes, et faire de Brooklyn une sérieuse destination pour les futurs free agents. Un argument plaide en revanche en faveur du tanking : pour la première fois depuis 2013, l’équipe est propriétaire de son 1er tour de draft (et elle devrait même en avoir 2 deux en 2019)
« On veut montrer qu’on est compétitifs tous les soirs. Kenny (Atkinson) et son staff sont tout à fait au courant des attentes, moi y compris. Mais au bout du compte, on ne va pas essayer de brûler la moindre étape, ça heurterait notre flexibilité dans le futur.
Du côté des propriétaires Mikhail Prokhorov et Joe Tsai (qui prendra 49% des parts en 2021), on a un peu de mal à camoufler son impatience.
« C’est ce que j’aime dans ce groupe. Ils sont très compétititfs. Mais je dois les retenir un peu et leur dire : ‘Hey, faites-nous confiance. Si on essaie de construire ça sur le long terme, ça va prendre du temps’. On a hâte de voir ce qui se passe l’année prochaine. Mais en même temps c’est plus important de voir ce qui va se passer demain, au training camp, en décembre et en janvier.
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On n’utilise jamais ce mot (tanking). On essaie d’être compétitifs, de montrer qu’on avance dans la bonne direction. Shabazz (Napier, signé pour 2 ans et 3.5 millions de dollars) est un gars qui peut nous aider à le faire. » Sean Marks
L’équipe qui avait terminé 12ème à l’Est devant Chicago, Orlando et Atlanta, avait souffert des blessures de ses deux meneurs Jeremy Lin et D’Angelo Russell la saison dernière.
via New York Post