Balancé comme une vieille chaussette par les Nuggets, Kenneth Faried veut réactiver le mode « Manimal »
Après avoir engagé quasiment 200 millions de dollars dans les nouveaux contrats de Nikola Jokic et Will Barton, les Nuggets ont réussi à économiser 21 millions de dollars en se débarrassant de Darrell Arthur et Kenneth Faried. Comment ?
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En les envoyant à Brooklyn avec un premier tour de draft 2019 (protégé 1-12) et un futur second tour de draft contre… Isaiah Whitehead, qu’ils ont coupé dans la foulée. Passé du « Manimal » au mec du banc qui passe 14.4 minutes par match sur le parquet pour 5.9 points et 4.8 rebonds par match derrière Paul Millsap car pas très branché « spacing » mais plutôt énergie, alley oops et rebonds, le natif de Newark estime qu’il n’a rien perdu de ce qui a fait son succès.
« Je n’ai jamais cessé d’être le joueur que je suis. Il n’y a pas de ‘était’. Les Nuggets voulaient aller dans une autre direction. Brooklyn s’est dit ‘hey, récupérons un mec toujours capable, qui peut être productif, donner l’exemple et faire ce qu’il a déjà fait’. Ils ont cru en moi et je suis content d’être ici. » Kenneth Faried via New York Post
En plus d’être de retour à la maison, l’intérieur de 28 ans voit donc surtout dans ce trade une opportunité de retrouver des minutes.
« La première chose à laquelle j’ai pensé quand j’ai appris mon transfert, ce n’est pas que c’était proche de chez moi, mais que c’était un nouveau départ. Dans une équipe qui me veut, qui ne veut pas simplement me voir assis sur le banc, qui veut que je transmette ce que j’ai appris, que je fasse mon boulot et que je joue au sport que j’aime. » Kenneth Faried
Lors d’une de ses meilleures saisons, Faried avait tourné à 11.5 points à 55.2%, 9.2 rebonds, 1 passe, 1 interception et 1 contre par match en 28.1 minutes (career-high) par match. C’était 2012-13, sa saison sophomore. Ses moyennes de points et de rebonds n’étaient ensuite pas descendus sous les 10 et les 8 jusqu’à l’année 2016-17.