Jimmy Butler, Karl-Anthony Towns… Pas de langue de bois pour Anthony Tolliver
En 11 ans de carrière et bientôt 12, Anthony Tolliver en a suffisamment vu pour ne pas prendre de pincettes lorsqu’il s’agit d’aborder des sujets un peu épineux. Comme le transfert de Jimmy Butler après deux longs mois de rumeurs.
« C’est une bonne chose parce que ça nous permet de passer à autre chose. Le nuage qui planaient au-dessous de nos têtes est passée et maintenant on peut se concentrer sur le basket. Quand vous traversez en plus une période difficile sur le terrain avec pas mal d’adversité, ça double encore le poids. Pouvoir passer à autre chose, peu importe à quoi ça va ressembler avec les nouveaux gars, maintenant nous savons ce que nous avons et tout le monde va être sur la même longueur d’ondes. » Anthony Tolliver
Ou le début de saison compliqué de Karl-Anthony Towns, qui sorti un gros match (25 points à 9/11 et 12 rebonds) malgré 10 ballons perdus pour la première de l’équipe depuis le départ de Buter à Philadelphie (victoire sur les Nets).
« L’important c’est que ces gars comprennent la responsabilité qui découle du fait d’être des joueurs max. Ils doivent apporter un certain niveau de régularité tous les soirs. Ils sont tous les deux très jeunes. Mais c’est à nous tous autour d’eux de continuer à les accompagner là-dedans.
Il est notre meilleur joueur. Avec les contrats et le talent les gens attendent de vous de gros matchs tous les soirs, même si parfois ce n’est pas forcément juste. Mais ils attendent de lui des matchs à 30 et 20. Et si ce n’est pas le cas, ce n’est pas une aussi bonne soirée qu’ils auraient espéré le voir faire. Ça fait partie du jeu, partie de la NBA. Quand vous signez ce genre de contrats, que vous faites partie d’une équipe qui construit autour de vous, il faut répondre présent chaque soir. » Anthony Tolliver
via StarTribune – NewsDay
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