Rafael Stone : « Beaucoup d’équipes veulent nos joueurs »

Avec la démission de Daryl Morey, qui a rapidement rebondi du côté de Philadelphie, c’est désormais son ancien bras droit, Rafael Stone, qui est aux commandes du front office. Dans une interview accordée au Houston Chronicle il a réitéré que le titre était l’objectif.

« Nous sommes toujours all-in. Nous objectif est de remporter un titre. Nous ferons tout ce que nous pouvons pour nous approcher de cet objectif. La bonne nouvelle c’est que nous avons des joueurs vraiment, vraiment bons. Je récupère un effectif talentueux qui a déjà gagné. Pas au niveau que nous voulons, mais qui a bien gagné. Il faut être très intelligent pour garder les bons éléments et en ajouter. Il ne faut pas faire quoi que ce soit impétueusement. Il faut regarder s’il y a des changements qui aideront. » Rafael Stone

Et visiblement il reçoit déjà beaucoup de coups de fil.

« Dans notre situation, beaucoup d’équipes veulent nos joueurs. C’est une excellence situation. Mais il faut s’assurer que si vous faites quelque chose cela vous rendra meilleur. Je suis très optimiste sur le fait que l’équipe sera très compétitive. Que ce soit avec les mêmes gars, et Stephen (Silas) va essayer de faire quelques changements par-ci par-là, et en utilisant la mi-level, c’est une façon d’être très compétitif. Peut-être qu’il y aura un deal ou deux qui pourront nous aider. Nous allons être très agressifs. » Rafael Stone

Forcément il y a la question de la luxury tax. Tilman Fertitta ne voulait pas la payer la luxury tax, mais il n’y aura peut-être pas trop le choix la saison prochaine.

« Il y a peut-être des avantages à l’éviter, mais nous prévoyons d’être dedans. Nous prévoyions d’être dedans il y a deux ans et l’an passé. Mais ce qui se passe dépend des circonstances. Il y avait un deal que nous aurions fait à la deadline la saison passée qui nous aurait fait passer bien bien au-delà de la luxury tax. Une équipe avait appelé et nous avions dit oui. Puis elle a finalement choisi de ne pas faire ce deal. Ce n’est pas forcément des décisions basées sur l’argent comme les gens le pensent. C’est plus la façon dont vous construisez votre effectif. Mais nous prévoyons de payer la luxury tax cette année. Si un excellent deal se présente et qu’il s’avère qu’il fait baisser notre masse salariale, nous ferons ce deal et peut-être que nous utiliserons ce montant libéré. Il n’y a pas de pression à ce sujet, mais il y a une vraie pression à gagner. » Rafael Stone

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