Anthony Edwards : « Pour être honnête, je ne peux pas regarder de basket »
Ce soir lorsqu’Adam Silver annoncera le choix des Minnesota Timberwolves, il est fort possible que le nom qu’il prononce soit celui d’Anthony Edwards.
« Je suis prêt à quitter Atlanta. » Edwards à ESPN
Comme il l’a confié dans ses différentes interviews, Anthony Edwards, qui est né à Atlanta et n’a jamais quitté la Géorgie, se moque de sa place à la draft ou de l’endroit où il atterrira. Et il sera prêt, « le reste je m’en fiche. »
Edwards est un cas un peu particulier puisque lui le sport qui le fait vibrer ce n’est pas forcément le basket comme il le concède à ESPN
« Pour être honnête, je ne peux pas regarder de basket. » Edwards
Lui son rêve c’était de devenir joueur de Foot US, mais on lui a rapidement fait remarquer qu’il était bien plus doué au basket, et qu’il avait une chance d’y réussir. Ni une ni deux, il s’est orienté vers le basket
« C’est tout ce qu’il me fallait. » Edwards
Mais il adore tout de même le pratiquer, même si ce n’est pas son premier amour. Puis c’est surtout ce qui va lui permettre de s’en sortir et de prendre soin de sa famille, et ça, c’est capital.
« Je ne suis toujours pas vraiment à fond dedans. Après, oui j’aime le basket. C’est mon boulot. Le basket c’est ma vie. J’adore ça, c’est ce que je fais. J’ai le basket dans mon coeur, mais le football c’est par ça que j’ai commencé, et je n’oublierai jamais. Mais ne vous méprenez pas, le basket est numéro 1 parce que j’ai le sentiment que cela me permettra de surmonter beaucoup de choses. C’est un boulot. J’ai le sentiment que je travaille. J’aime ça. Le basket, je me concentre sur ça. J’en ai besoin dans ma vie. » Edwards
A ce sujet il explique que s’il venait à être drafté en NFL, il abandonnerait le basket « parce que tu peux tout faire sur un terrain. Tu peux frapper dans le ballon. Tu peux danser. Tu peux faire tout un tas de choses irrespectueuses. » Explique-t-il alors qu’en NBA « tu ne peux pas faire tout ça. Tu prends une amende. »
Une autre de ses passions, le rap. Il a déjà enregistré quelques morceaux avec son frère et prévoit de sortir quelques sons lorsqu’il se sera fait une place en NBA. Mais quand on lui demande s’il
« Je peux vraiment raper. Dame, je ne sais pas ce qu’il raconte. Moi je rappe comme Lil Baby. » Edwards
Voilà, le décor est planté
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