Avec le 18ème choix de la draft les Dallas Mavericks ont jeté leur dévolu sur l’arrière australo-américain sorti d’Arizona : Josh Green. Du haut de ses 196 cm, il possède surtout une envergure de 2m08 et de belles qualités athlétiques. Certains voient en lui un potentiel excellent 3&D, capable de défendre sur plusieurs postes. Il arrive aux Mavs en clamant qu’il est prêt à faire le sale boulot, ce qu’on lui demandera sans doute, car des scoreurs il y en a dans le Texas.

En débarquant en tant que rookie, je n’ai aucun souci avec le fait de faire le sale boulot. J’adore défendre, j’adore courir, j’adore plonger, aller chercher des ballons. Je pense que je suis là pour faire des actions qui font gagner, et ça ne peut qu’aider Dallas. Je vais arriver avec cet état d’esprit, je vais apprendre des anciens de l’équipe, je vais pouvoir apprendre de quelqu’un comme Luka, qui est jeune, mais qui est déjà une star en NBA. Il faut grandir au quotidien, tout donner et je ferai tout ce qu’il faut pour aider au mieux l’équipe à gagner. J’aime gagner. J’adore ça, j’ai toujours été un compétiteur, donc je pense que c’est une super équipe. Beaucoup ne veulent pas plonger sur le terrain, provoquer un passage en force, ce genre de choses, mais je vois ça comme des actions qui font gagner et je suis prêt à me sacrifier pour faire ces actions afin que mon équipe gagne le match ou ait le momentum. » Green

Aux Mavs il retrouve un joueur à qui il s’identifie dans sa façon de jouer : Josh Richardson. Ce dernier a débarqué dans le Texas lors du trade de Seth Curry. Il espère apprendre de lui, même s’ils seront clairement en concurrence.

« Lors de mes entretiens, beaucoup d’équipes m’ont demandé : à quel joueur penses-tu être similaire ?’ Josh Richardson était un des joueurs que je citais, en raison de l’impact qu’il a sur le terrain. Il a un énorme impact. C’est un très bon leader, il défend. Pouvoir m’entraîner contre un joueur comme ça chaque jour et qu’il soit mon vétéran, c’est énorme. Je pense que je peux apprendre et me développer grâce à lui. » Green

Via ESPN