Donovan Mitchell : « L’année la plus folle de ma vie »
Le premier réflexe de Donovan Mitchell après avoir officialisé son nouveau contrat de 195 millions de dollars sur 5 ans avec le Jazz ? Plonger dans sa piscine !
« C’est trop de choses à résumer en une seule phrase. Il y a de la joie, de l’excitation, des années et des années de travail et de dévouement qui finissent par payer. Vivre ce moment avec ma famille ça a vraiment été spécial, et le premier truc qui m’est venu c’est de sauter dans la piscine (rire). » Donovan Mitchell
De la classe de draft 2017, ils sont désormais 3 (correction : 4 depuis la prolongation de Bam Adebayo) à avoir re-signer pour le maximum : Mitchell, Jayson Tatum et De’Aaron Fox.
« Il n’y a pas du tout de rivalité non, on s’est même envoyé des textos après nos signatures pour se féliciter et demander qui allait payer le resto. Ce sont mes gars, je les connais tous les deux depuis le lycée, on joue les uns contre les autres depuis longtemps. Sur le terrain il y a toujours une rivalité, c’est toujours la guerre, mais en dehors ce sont mes gars, j’aime jouer contre eux et ce sont des super mecs donc je suis content pour eux aussi. » Donovan Mitchell
Une belle récompense après une année lourde en émotions pour l’arrière.
« On faisait une super saison collectivement, il y a eu ma première sélection au All-Star Game, et puis le coronavirus est arrivé, et là j’ai eu le sentiment de passer du plus haut au plus bas de ma vie. Après il y a eu la bulle, où on perd en playoffs contre Denver. J’ai fait une bonne série mais on a perdu quand même. Ensuite je rentre, j’approche de mon 24ème anniversaire et ma grand-mère meurt d’une attaque. Et puis maintenant il y a la signature de ce contrat donc il y a eu beaucoup de hauts et de bas cette année, ça a été l’année la plus folle de ma vie, mais je sais que tout arrive pour une raison, et je dois continuer à avancer et à travailler. J’ai un nouveau contrat mais rien n’a changé, la mentalité est la même. Je n’ai encore rien fait, je n’ai pas encore gagné et c’est l’objectif. » Donovan Mitchell