PJ Tucker visiblement agacé par la gestion de sa prolongation : « Etre à un endroit où tu es désiré, avec une équipe qui te veut »
Dans la dernière année de son contrat, depuis des mois PJ Tucker ne cache pas qu’il aimerait prolonger aux Houston Rockets, mais visiblement cela ne se passe comme pas comme il l’aurait voulu. En tout début de training camp il avait semblé agacé lorsqu’un journaliste avait voulu évoquer une prolongation avec lui, et finalement comme James Harden, il est arrivé très tardivement à Houston et ce n’est qu’hier qu’il a repris l’entraînement collectif.
Interrogé sur son avenir à Houston et s’il veut être transféré, il a rétorqué :
« Je veux être avec l’équipe qui me veut, peu importe où. C’est le genre de joueur que je suis. Je donne tout tous les soirs et c’est ce que j’ai fait toute ma carrière. Donc je veux être là où je suis désiré. » PJ Tucker
Et il semblerait que les Rockets ne soient pas forcément cette équipe qui le désire.
« Est-ce que vous leur avez demandé ? Vous devriez leur demander. Vous me posez une question sur ce qu’eux pensent. Je ne peux pas vous le dire. » PJ Tucker
A 35 ans il est dans la dernière année de son contrat de 4 ans et 32 millions de dollars, lui qui a été un joueur clé de l’équipe ces dernières années, titulaire depuis la saison 2017-18, homme à tout faire, poste 3, puis 4 et même 5 la saison passée.
« Ce n’est même pas juste la prolongation. Ce n’est pas l’objectif numéro 1. L’objectif c’est d’être à un endroit où tu es désiré, où tu veux être, avec une équipe qui te veut. C’est ce que tous les joueurs veulent. Personne ne veut être à un endroit où ils ne vous veulent pas. Il y a certaines façons de montrer ça. Pas simplement avec une prolongation de contrat. » PJ Tucker
Quand on lui demande s’il a le sentiment d’être indésirable aux Rockets, il répond :
« Je n’ai pas dit ça. J’ai juste dit que je veux être à un endroit où je suis désiré. »
Rappelons que le GM a changé, exit Daryl Morey, désormais c’est Rafael Stone qui est en charge et visiblement il n’est pas aussi attaché à l’ancien Sun que Morey.
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