Anthony Edwards : « Le travail finit toujours par se voir »
Entre deux interviews à chaud, Karl-Anthony Towns et Anthony Edwards, énormes à Phoenix jeudi soir, ont partagé une belle étreinte au milieu du terrain alors que tous leurs coéquipiers étaient déjà rentrés au vestiaire et que l’heure était au rangement à la PHX Arena. Le premier a explosé son record en saison avec 41 points (15/24, 10 rebonds, 8 passes), le second son record en carrière avec 42 points (15/31, 7 rebonds, 3 passes).
« Je veux célébrer avec lui autant que possible. C’est un moment tout particulier. » Karl-Anthony Towns
YOU’VE GOT TO LOVE THESE TWO pic.twitter.com/XoATrYKP4N
— Minnesota Timberwolves (@Timberwolves) March 19, 2021
« Quand on gagne ce n’est que du bonheur. KAT et moi étions simplement heureux d’avoir gagné. » Anthony Edwards
À 19 ans et 225 jours, Edwards, 30.6 points de moyenne sur ses 5 derniers matchs, est devenu le 3e joueur le plus jeune de l’histoire à signer un match à 40 points.
« Le travail finit toujours par se voir. Je travaille dans l’ombre, puis ça apparaît au grand jour. » Anthony Edwards
Minnesota a remonté 15 points de retard en seconde mi-temps (4e quart remporté 40-28) avant de s’imposer 123-119. L’équipe, toujours dernière de la ligue avec son maigre bilan de 10 succès pour 31 défaites, reste sur 3 victoires en 5 matchs depuis le All-Star break.
« Notre succès futur commence à s’écrire maintenant. Nous devons essayer de mettre ces gars dans la meilleure position pour grandir au mieux dans le rôle qui sera le leur. On adore l’audace d’Ant’, et ça crée une belle petite combinaison avec KAT. Ils ont vraiment fait quelque chose de spécial ce soir, ils nous ont portés. » Chris Finch, head coach
Des 93 tirs des Wolves, 55 ont été pris par la paire Towns – Edwards… qui a aussi inscrit 41 des 53 points de l’équipe en 1re mi-temps !
« Wow, 55 ?! » Karl-Anthony Towns
« On commence à savoir ce que l’autre préfère sur le terrain, maintenant je sais comment il aime recevoir le ballon, lui sait comment moi j’aime le recevoir… Quand l’un est chaud, on le sert. » Anthony Edwards
via ESPN