Brad Stevens : « Nous avons fait beaucoup d’ajustements, mais c’était pire »
Talent > système. Difficile de résumer de façon plus concise la domination des Nets sur Boston dans le Game 4 hier. Le Big Three a inscrit 103 des 141 points de l’équipe, dont 81 rien que pour le duo Kevin Durant (42) – Kyrie Irving (39).
« Nous avons fait beaucoup d’ajustements, mais les ajustements étaient pires parce que ça a créé une séparation dans le jeu. Alors bien sûr en playoffs tu cherches à t’ajuster de manière appropriée, mais garder le cap quand le match est encore à portée de main parfois c’est le bon choix à faire. » Brad Stevens
Witnessing greatness every night.
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Switchs Jayson Tatum/Tristan Thompson ? Pas assez agressifs, Durant file au panier. Faire entrer Jabari Parker ? Durant l’a déposé dès la première possession. À bout de solutions face aux trois stars adverses de plus en plus, Stevens a fini par opter pour une zone 2-3. Sauf que cela n’a rien changé. Comme Durant, Kyrie et Harden enchaînaient shoots contestés sur shoots contestés ou se débarrassaient de leurs vis-à-vis en un claquement de doigts. Romeo Langford, Grant Williams, Evan Fournier, tous en ont pris pour leur grade, et les tentatives de zones et de prises à deux derrières n’ont rien arrangé.
Let his play do the talking.
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« Nous avons été trop brouillons. On va revoir le match, regarder où l’on peut s’améliorer notamment sur les trappes. En même temps, chaque défense dans la ligue veut rester au maximum dans sa coquille, et c’est ce qu’on a fait quand on a joué notre meilleur basket dans cette série. » Brad Stevens
Les Nets étaient tout simplement trop forts pour des Celtics qui ont joué ce Game 4 sans trois de leurs starters habituels : Kemba Walker (genou), Jaylen Brown (poignet) et Robert Williams (cheville).
via The Athletic
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