Chris Bosh: c’était un décision difficile de refuser Houston
Pour la première fois depuis le départ de LeBron James et sa signature aux Heat, Chris Bosh a réagi. Tout comme Dwyane Wade il n’en veut pas à LeBron d’être parti.
Nous restons frères quoi qu’il en soit. Il n’y a pas de sentiments amers. Il n’y a que de l’amour.
Il a confirmé avoir eu pas mal d’offres dont celle de Houston dont on l’annonçait proche.
Je mentirais si je disais que Houston ce n’était pas alléchant. Quand vous regardez leur roster vous voyez pourquoi cela semble logique qu’ils s’intéressent à moi, il y avait une chance pour eux de réussir. Malgré ça ils vont être une bonne équipe l’an prochain. Il semblait juste que j’aurais été la pièce finale dont ils avaient besoin. C’était un décision difficile de refuser Houston.
Il y avait des offres alléchantes. Il y a eu des avances surprenantes mais j’ai finalement décidé de rester à Miami Je pense que c’était le bon choix. Cela va m’être bénéfique et ça va être bénéfique à l’équipe. Mon cœur était à Miami. Je voulais être ici et je souhaitais garder ma famille ici, construire des relations et continuer de construire quelque chose de spécial.
Nous prenons tous des décisions pour être heureux et pour que notre famille soit heureuse. Cela n’enlève rien à ce que nous avons fait ensemble, le lien spécial que nous avons créé et les souvenirs que nous avons en commun. Cela ne changera jamais.
Il est confiant en l’avenir du Heat
Je pense que maintenant nous avons les bonnes bases pour nous battre pour un titre. Nous devons nous améliorer sur certains postes et il y a des choses sur le plan collectif qui doivent continuer de se produire. Mais vous savez une équipe comme les Spurs il y a beaucoup de joueurs qui sont sous estimés mais en équipe ils sont incroyables.
Avec ce contrat maximum Bosh devient clairement le leader de l’équipe, un rôle qui lui manquait un peu
Je pense que cela me manquait quelques fois. Vous vous demandez si vous pouvez toujours l’être et si vous pouvez répondre au défi. Je n’ai pas eu à être ce joueur. Je jouais avec le meilleur joueur du monde. Je n’avais pas à être le leader numéro 1. Mais maintenant je vais pouvoir voir si j’ai ça en moi, et peu de gens vont croire que j’ai ce qu’il faut pour. C’est ce qui rend ça excitant.
Vous savez je ne suis plus le même joueur que j’étais quand j’avais 25 ans et que j’étais l’option numéro 1. Je suis plus mature, mon jeu est plus mature et je peux faire des choses sur et en dehors du terrain pour maximiser le potentiel de cette équipe.