Julius Randle : « Ce qui fait vraiment la différence, c’est qu’on voit que le système fonctionne »
De son expérience à Golden State auprès de Steve Kerr, Luke Walton a notamment amené l’approche ‘pass-or-fail‘ (littéralement passe ou échec) de son ancien patron sur le banc des Warriors.
Je sais que l’échelle est faussée avec l’équipe qu’on avait là-bas. Mais la plupart du temps on faisait plus de 300 passes par soir et on gagnait beaucoup de matchs.
Avant leur match contre Brooklyn (victoire 125-118) la nuit dernière, les Lakers tournaient à 286 passes par match (contre 281 la saison passée).
C’est juste le système. On s’amuse tous et on veut chacun se voir briller. Il y a beaucoup d’équilibre dans cette équipe. On a beaucoup de gars qui dépassent les 10 points. Ça peut être la soirée de n’importe qui. Donc on essaie de trouver quelqu’un qui a la main chaude » Jordan Clarkson
On voit que le nouveau système fonctionne. C’est vraiment ça qui fait la différence. On peut le constater et je pense que c’est contagieux » Julius Randle
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Mais pas encore assez au goût de leur nouveau coach. Par exemple, les Lakers n’ont fait que 259 passes dimanches dans leur défaite à Minnesota. Pour expliquer cette baisse de régime, Walton avait alors évoqué le jeu en 1 contre 1 trop systématique et la fatigue d’un 3ème match en 4 jours. Tout en n’oubliant pas de souligner ce qu’il avait également vu de positif sur la rencontre : le bon mouvement du ballon et le rythme.
« C’est un bon point de comparaison par rapport à comment on veut jouer et si on joue altruiste ou non. Une fois qu’on commencera à mieux jouer et qu’on sera plus familier avec le système et les uns avec les autres, ces objectifs seront plus spécifiques. Maintenant on veut s’assurer que le ballon bouge bien » Luke Walton
via OCRegister