Un J.J. Redick toujours torturé par la défaite mais prêt à laisser sa place à… LeBron James
Comme 29 autres équipes, les Sixers rêvent de pouvoir attirer LeBron James dans leurs filets cet été. Car le triple champion NBA et désormais nonuple finaliste est le genre de free agent qu’aucune franchise ne peut se permettre de refuser, peu importe les dégâts collatéraux. Et dans l’éventualité (tout de même hautement improbable, soyons honnêtes) où le Cavalier déciderait de signer à Philadelphie, J.J. Redick en ferait partie. Ce même si à 32 ans, l’arrière qui n’a jamais pris autant de plaisir que cette année en NBA sort de l’une des meilleures saisons de sa carrière avec des moyennes de 17.1 points à 46% (42% à 3-points), 2.5 rebonds et 3 passes par match.
« Je ne parle pas uniquement des Sixers mais en règle générale, si vous avez la chance de signer LeBron James, vous foncez et vous réfléchissez au reste plus tard. Quand j’étais petit, mon père me disait toujours – et je le dis aussi tout le temps à mon fils de 4 ans – : ce n’est pas toujours à propos de toi. Concernant ma carrière, là c’est moi, mais je sais reconnaître que dans ce sport, un sport d’équipe, avec toutes les complications concernant le salary cap et la volonté des front offices de faire certaines choses, les timelines, l’âge… je reconnais que ce n’est pas toujours à propos de moi. Je l’accepte. » J.J. Redick
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Éliminé par les Celtics au second tour des playoffs, Redick avait rêvé bien mieux pour Philadelphie cette saison, et en ce sens ce fût encore pour lui une saison décevante.
« Là actuellement je dirais que c’est tout aussi décevant qu’en 2010 et 2015. Quand vous avez le sentiment d’en avoir laissé un peu sur la table… c’est difficile à gérer. Vous courez après ce trophée, vous en rêvez, vous êtes dans une équipe qui selon vous a une chance et cela s’arrête brusquement. Ça fait très mal. Quand je pense aux émotions dans le vestiaire après ces défaites, le Game 5 à Boston était comme le Game 7 à Houston en 2015 et comme le Game 6 à Boston en 2010, quand on a perdu en finales de conférence Est. » J.J. Redick
via NBC Sports
(tout de même hautement improbable, soyons honnêtes)
je ne vois pas en quoi le venue de James aux Sixers est hautement improbable…les Sixers sont évidemment bien placés pour l'attirer.