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Anthony Davis en mode gâchette et actions à 4-pts; Frank Vogel : « Il n’y a personne comme lui en NBA »

Auteur de 33 points (9/19, 11/11 aux lancers-francs, 11 rebonds, 7 passes) dont 24 en seconde mi-temps dans la victoire des Lakers 130-127 à Oklahoma City vendredi soir, Anthony Davis a au passage battu son record de 3-points réussis sur un match cette saison avec 4 (4/7). L’un deux a été très important puisque réussi avec la faute en prime à moins de 3 minutes de la fin.

« J’écartais juste le jeu. LeBron voulait que j’écarte le jeu et faire jouer Kyle sur pick & roll. Je savais que s’il m’envoyait le ballon j’allais shooter. J’ai pu shooter et avoir le rebond avec moi. »

« On veut qu’il prenne plus de 3-points. Les équipes lui laissent la place, et c’est un trop bon shooteur pour ne pas prendre ces tirs. Depuis deux matchs il les prend (3/5 contre OKC le 19/11, ndlr). » LeBron James

Avant ce 7/12 derrière la ligne en 2 matchs, Davis était à 8/32 seulement longue distance cette saison. Il a en plus réussi ses 2 premières actions à 4-pts en carrière !

« Le coach m’a dit d’arrêter d’hésiter. Quand j’hésite, je vais être court ou alors je vais complètement rater. Donc si je suis ouvert je shoote. Pas d’hésitation. Et ça semble beaucoup plus rentrer quand je n’hésite pas. » Anthony Davis

Lorsqu’il a cette adresse de loin, difficile de contenir l’attaque des Lakers. Cette nuit les Californiens ont shooté à 17/31 de loin

« C’est déjà un problème de matchup pour qui que ce soit en NBA. Et quand il écarte le terrain en poste 5 avec son shoot à 3-pts, il n’y a plus aucune limite pour notre attaque. Nous allons continuer à être meilleurs pour mettre des points. »

Ajoutez aussi un 11/11 sur la ligne des lancers dont 4/4 dans la dernière minute.

« Il n’y a personne comme lui en NBA. Voilà à quel point il est unique. Puis la façon dont il impacte le jeu, que ce soit près du cercle ou en shootant à 3-pts – 4 3-pts et 2 actions à 4-pts – ou avec une défense d’élite en étant partout, c’est quelque chose de spécial. » Frank Vogel

via ESPN

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