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Tariq Abdul-Wahad revient sur le plus grand regret de sa carrière : « Je savais très bien que ce n’était pas une bonne situation pour moi »

Pionner français en NBA, Tariq Abdul-Wahad n’avait pas fait qu’être le premier à y jouer puisqu’il a aussi été le premier à s’y faire véritablement une place. Drafté par les Kings en 11ème position en 1997 après une superbe année senior à San Jose State, il s’est rapidement imposé comme un titulaire, dès la fin de sa saison rookie.  Transféré au Magic lors de l’été 1999, il y a fait un très bon début de saison 1999-2000 (12.2 points, 4.8 rebonds, 1.6 passe et 1 interception), mais il n’y est pas resté longtemps, transféré à la deadline en février 2000. Direction Denver où la fin de saison a été plus difficile, mais free agent, il a décidé d’y re-signer lors de l’été 200 pour 7 ans et 43,3 millions de dollars, un joli contrat à l’époque. Mais voilà, cette re-signature il confie à Greg Arkhurst dans All-The-Talk que c’est le plus grand regret de sa carrière.

« Si je pouvais changer quelque chose, j’aurais signé avec Boston au lieu de signer avec Denver. Rick Pitino était le coach de Boston à l’époque. J’avais joué contre lui avec San Jose State face à Kentucky, qu’il coachait. Cette année-là j’étais free agent et au lieu de signer avec Boston j’ai re-signé avec Denver. Ce qui est dingue c’est que ma femme a gardé le maillot Boston Celtics floqué numéro 9 avec mon nom, qu’ils avaient amené leur de la rencontre pour que je signe avec eux. Ça, honnêtement, au niveau basket c’est mon plus grand regret. » Tariq Abdul-Wahad

Il a expliqué pourquoi il a choisi finalement l’équipe des Rocheuses. Il a passé seulement 2 saisons et demi aux Nuggets pour 64 petits matchs et 5.9 points de moyenne en 18.9 minutes

« La raison pour laquelle je suis resté à Denver c’est parce que c’était sur la côte Ouest et ma famille était en Californie. Donc je me suis dit que j’allais rester plus proche d’eux. Mais en termes de basket, je savais très bien que Denver ce n’était pas une bonne situation pour moi. » Tariq Abdul-Wahad

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