Malgré un nouveau record en carrière de Zion Williamson, le Thunder a le dernier mot grâce à Danilo Gallinari
Dans un match très important pour la course aux playoffs, les Pelicans font une très mauvaise opération en s’inclinant face au Thunder 123-118. OKC affiche désormais un bilan de 33-22 et file en playoffs alors que les Pelicans sont toujours à la traîne avec 23 succès et 32 défaites.
Danilo Gallinari a inscrit 11 de ses 29 points (à 12/18 dont 3/5 à 3-pts) en dernier quart, bien aidé par Chris Paul, auteur de 14 points à 5/12 dont 2/3 ) 3-pts, 8 rebonds et 12 passes et Dennis Schröder (22 points à 7/16) et Shai Gilgeous–Alexander (17 points à 6/13). Ils ont permis au Thunder, qui rentre 50% de ses tirs dont un 13/27 de loin, de résister à Zion Williamson, auteur d’un nouveau record en carrière avec 32 points à 11/19 et 6 rebonds en 31 minutes. A noter qu’il devient le plus jeune joueur de l’histoire à enchaîner 6 matchs à au moins 20 points. JJ Redick inscrit lui 24 points à 8/19 dont 4/11 à 3-pts en sortie de banc en l’absence de Brandon Ingram. New Orleans est moins adroit avec 48.8% dont 40% à 3-pts et surtout perd 10 ballons de plus (17-7)
Les deux équipes se sont adonnées à un chassé-croisé en première mi-temps et c’est finalement OKC qui a vidé en tête à la faveur d’un 14-3 pour terminer la mi-temps sur le score de 66-58 avec notamment le premier 3-pts en carrière de Steven Adams de son propre camp ! OKC a pris jusqu’à 13 points d’avance dans le 3ème acte, mais dans le sillage de Zion, dominateurs, les Pelicans ont grappillé leur retard et ont même pris l’avantage brièvement sur un shoot de Lonzo Ball, mais OKC a répondu par un 13-0 sous l’impulsion d’un Mike Muscala déchaîné.A l’entame des 12 dernières minutes le Thunder menait 98-93 et encore une fois les locaux sont revenus. Sur un 3-pts, Ball a donné de nouveau l’avantage aux siens, mais Gallinari a pris les choses en main et ajouté plusieurs paniers dont un 3-pts, puis a terminé le boulot sur la ligne des lancers, 121-115 avec 30 secondes à jouer et l’aide de Steven Adams, game over.