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Les propriétaires des Celitcs prêts à payer le camion de la Brinks ?

Co-propriétaire des Celtics (avec H. Irving Grousbeck et Wycliffe Grousbeck), Steve Pagliuca estime que le salary cap tel qu’il fontionne aujourd’hui (masse salariale fixée à $99.093 millions de dollars et la luxury tax à $119.266  millions) est un « retour vers le futur ». L’équipe a pour le moment fait une croix sur Avery Bradley (transféré à Detroit avec ses 8.8 millions prévus pour la saison 2017-18) afin de faire de la place aux 128 millions sur 4 ans de Gordon Hayward mais les futurs contrats d’Isaiah Thomas et Marcus Smart l’été prochain sont autant de casse-tête à venir.

« À une époque les équipes avaient beaucoup de cap space avec l’augmentation des revenus. Aujourd’hui nous entrons dans une période où la bonne gestion du cap devient impérative. C’est un retour vers le futur, quand les gens devaient travailler dur pour du cap space »  Steve Pagliuca

Pour ça, les Celtics travaillent avec un spécialiste, Michael Zarren (assistant GM), qui a travaillé en étroite collaboration avec Danny Ainge pour la free agency. Cela n’empêche pas l’équipe d’être bien partie pour revenir à l’ère Paul Pierce, Kevin Garnett et Ray Allen, où elle était bien heureuse de payer la luxury tax. Si l’équipe actuelle s’offre avec ça une chance d’accéder aux Finales NBA chaque année, Pagliuca est prêt à signer.

« Je ne sais pas si c’est inévitable, mais si nous pensons que cela va nous aider à gagner un titre, nous le ferons. Nous avons montré dans le passé que nous avons fait ce que nous avions besoin de faire pour gagner. Mais il faut être prudent, car si vous signez de mauvais contrats, cela vous empêchera de signer d’autres joueurs. Mais je suis très heureux de la façon dont tout s’est déroulé. Ils ont réussi à assembler un très bon mix de vétérans et de jeunes talents. C’est une combinaison puissante » Steve Pagliuca

Si Thomas (qui sera payé 6.3 millions en 2017-18), qui a annoncé qu’il allait falloir faire venir le camion de la Brinks, re-signe en 2018, il deviendrait le 3ème contrat max de l’équipe après Hayward et Al Horford.

« Tellement de choses peuvent se passer entre aujourd’hui et l’année prochaine. Mais nos propriétaires ont montré qu’ils étaient prêts à payer les taxes dans le passé, parce que leur objectif est de gagner » Danny Ainge

On rappelle que l’année dernière (celle de leur titre), les Cavaliers avaient signé un chèque de 54 millions de dollars de luxury tax, un record.

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