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Les Oscars BI de la semaine !

Déjà 7 jours que la NBA a repris alors il est temps de décerner les Oscars de la semaine ! Pour retrouver nos Oscars de l’été (partie 1 et 2), c’est ici.

[highlight] L’Oscar « Arrête-moi si tu peux » du gars qui a triché à son entretien d’embauche et qui est à deux doigts de se faire choper : Markelle Fultz [/highlight]


On se demandait déjà comment un n°1 de la draft pouvait ne pas connaître le nombre d’équipes présentes en  NBA (il a proposé 24, 32, 28, 27 et 29 avant de tomber sur la bonne réponse) ou le nom du meilleur scoreur de l’histoire de la ligue, voilà que Markelle Fultz (qui pensait aussi qu’Adam Silver avait pris ses fonctions fin 90 / début 2000), MENEUR DE JEU, se met à shooter n’importe comment. Mais que quelqu’un l’arrête bordel, cet homme nuit à son sport ! Aucune blessure à l’épaule n’a jamais provoqué une mécanique de tir aussi dégueulasse. Même Chuck Hayes en a vomi devant sa télé et il paraît que les Suns sont intéressés par un transfert pour en faire leur option offensive n°1.

[highlight] L’Oscar « K-Shop » du gars qui rend hommage à son père en faisant une véritable boucherie : Giannis Antetokounmpo [/highlight]


La première semaine du Greek Freak a été un vrai carnage avec 37, 34 puis 44 points. Ses moyennes sur ses 3 premiers matchs 2017-18 sont flippantes : 38.3 points à 67.2% (!), 9.7 rebonds, 5 passes, 2.7 interceptions et 1 contre en 38.3 minutes. Élu sans aucune surprise Player of The Week à l’Est, il a écrit un émouvant message dédié à son père (mort d’une crise cardiaque le 30 septembre dernier à l’âge de 54 ans) sur le ballon du match après avoir tué à lui tout seul les Blazers samedi.

[highlight]  L’Oscar « Je suis une Légende » du gars qui ne risque pas de s’étouffer dans sa modestie : LeBron James [/highlight]


Avant de nous annoncer qu’il était « hors de forme » alors qu’il venait de claquer 29 points, 16 rebonds et 9 passes pour son premier match de la saison (victoire) contre les Celtics, LeBron James surfait il y a un mois encore sur la vague du « je sors de mon été de psychopathe » slash « j’ai retrouvé la fièvre du basket grâce à mes enfants » et déclarait ceci : « Ça fait un peu peur de voir combien j’ai progressé, même à ce stade de ma carrière ». Sa cheville douloureuse semble depuis l’avoir un peu calmé mais nul doute qu’après un remplacement des vieux boulons par du carbone à l’atelier, ce sera reparti comme en 40.

[highlight]  L’Oscar « 8 Mile » du gars que la petite gueule d’ange n’empêche pas de balancer de belles punchlines : Stephen Curry [/highlight]


A priori, on s’attend plus à voir Stephen Curry dans « Le Jour du Seigneur » le dimanche sur France 2 plutôt que dans un épisode de « Yo Momma » Mais détrompez-vous ! L’ancien MVP pète parfois des câbles et contre la bête noire des champions en titre (Memphis) samedi, c’est encore le protège-dents, balancé en direction d’un arbitre, qui a morflé. Jusque-là rien de bien violent (Steve Kerr a d’ailleurs ironisé sur le caractère extrêmement dangereux de cet acte de frustration) mais en interview, le meneur s’est défendu d’avoir visé celui qui avait osé lui refuser une faute en fin de match : « Je n’ai pas lancé mon protège-dents sur l’arbitre. Je vise mieux que ça. ». Un petit kit du parfait petit rebelle qui lui a valu la plus belle amende de la semaine : 50 000 dollars.

[highlight] L’Oscar « La Piscine » du gars qui te maintient la tête sous l’eau jusqu’à ce que tu étouffes parce qu’il en trop entendu : Patrick Beverley [/highlight]


Le nouveau pitbull des Clippers a fait parler de lui jeudi dernier puisqu’il a été le premier joueur à défendre sur Lonzo Ball, le fils de l’homme le plus détesté de la planète NBA. Le rookie a terminé à 3 points à 1/6, 9 rebonds et 4 passes dans le défaite avant de se rattraper avec 22 points à 12/27, 11 rebonds et 9 passes contre les Suns et cette fois dans la victoire. Prochain match entre les deux équipes le 27 novembre. Beverley a prévenu, il ne sera pas le seul meneur à vouloir la peau du 2ème choix de la draft (John Wall a déjà l’air chaud).

[highlight] L’Oscar « Truman Show » du mec qui réalise qui réalise 35 ans après tout le monde qu’on n’est pas au pays des bisounours : Jayson Tatum [/highlight]


Certains rookies dont on ne citera pas le nom –Stanley Johnson- ont osé dans le passé se poser en « LeBron Stopper ». Ce ne sera pas le cas du 3ème choix de la draft Jayson Tatum, resté choqué devant le phénomène contre Cleveland en ouverture le 17 octobre dernier. En voilà un gamin honnête !

 

 

 

[highlight] L’Oscar « Les Bronzés font du ski » du gars pour qui sur un malentendu, ça pourrait marcher : Kristaps Porzingis [/highlight]


Contrairement à Jean-Claude Duss, Kristaps Porzingis n’a pas de problème avec les filles. Suite à son été européen, le géant s’est lamenté d’être toujours célibataire dans une story Instagram sur fond noir agrémentée d’un petit émoji tout triste… Après bien sûr avoir pris le soin de préciser qu’il était de retour à Big Apple. Seul et malheureux. En NBA, on appelle ça aller à la pêche. C’est comme ça désormais, on drague les Insta Models en slidant dans leurs DMs. Que voulez-vous, c’est tout de même pratique quand on voyage souvent hein. On se demande même pourquoi Amazon n’a pas encore songé à un service à domicile (attention à bien décocher l’abonnement). Bref. Non, les filles, ce n’est pas le problème. Le problème, c’est surtout que l’ambition c’est bien, mais qu’il faut parfois savoir revoir ses attentes à la baisse. Parce que viser une sélection au All-Star Game, un titre de MIP et un titre de défenseur de l’année, c’est quand même un tout petit peu présomptueux quand on porte le maillot des Knicks en 2017.

[highlight] L’Oscar « Pulp Fiction » du gars qui t’avait prévenu : J.R. Smith [/highlight]


Après avoir déclaré qu’une bataille contre Dwyane Wade pour un spot dans le cinq majeur était perdu d’avance avant le début de saison, J.R. Smith avait finalement très mal pris le fait d’être relégué sur le banc des Cavs par Tyronn Lue. Sauf qu’après 3 matchs très moyens aux côtés des titulaires, Wade a fait savoir à son coach qu’il se sentirait plus à l’aise en tant que leader de la second unit. Champagne !

[highlight] L’Oscar « Speed 2 » du gars qui aurait vraiment pu nous épargner un deuxième épisode : Andre Roberson [/highlight]


Normalement, quand tu viens de balancer un airball bien gênant aux lancers-francs, tu fais en sorte que le ballon touche au moins le cercle sur le deuxième, quitte à balancer une grosse brique. Andre Roberson lui, il s’en fout. Il se dit qu’en restant fidèle à sa (mauvaise) routine et par l’opération du Saint Esprit, le ballon va finir par tomber dedans. Et est-ce que cela ne serait finalement pas la preuve d’un sang-froid hors du commun que de réussir à faire abstraction ? Non ? Non, ok. En même temps, quand tu penses que faire des pompes va plus t’aider à rentrer tes lancers-francs que de réellement T’ENTRAINER À TIRER DES LANCERS-FRANCS…Bah on ne peut plus rien pour toi.

 

[highlight] L’Oscar « Desperate Housewives » du gars qui pensait pouvoir régler tous les problèmes du quartier avec sa tarte aux noix de pécan : Bobby Portis [/highlight]



« Ben je comprends pas, mon coéquipier veut plus me parler parce que je lui ai explosé la mâchoire en 4 et causé une commotion cérébrale avec une ITT de 4 à 6 semaines à la clé ?! » Bobby Portis peut s’estimer heureux que les Bulls n’aient pas pu se payer le luxe de se séparer de lui, sinon c’était la porte assurée. Et à moins qu’il accepte de se faire tabasser par Nikola Mirotic lorsque l’Espagnol sera en mesure de rejouer, on voit mal ce qui pourrait l’aider à se faire pardonner.

[highlight] L’Oscar « Desierto » du mec qui s’autoproclame illégitimement unique maître des lieux et qui déteste entendre parler espagnol : Jimmy Butler [/highlight]


Tu t’es trompé de combat mon gars ! Jimmy Butler a voulu jouer au thug en refusant l’accès au vestiaire des Wolves à Ricky Rubio parce qu’il s’était embrouillé avec lui pendant le match et tout ce qu’il a réussi à faire, c’est manquer de respect à un gars qui a 6 ans de maison. Un domaine dans lequel l’ailier semble se spécialiser depuis l’épisode Avery Bradley en playoffs.

[highlight] L’Oscar « Paddington » du mec qui cherche en vain à empailler un ours brun depuis 5 ans : Stephen Curry [/highlight]

Et rebelote ! Déjà seule équipe avec San Antonio à avoir battu les Warriors deux fois l’année dernière, Memphis s’est encore payé le scalp de Stephen Curry & Co, samedi. Depuis la saison 2011-12, le bilan des Grizzlies est d’ailleurs positif contre les champions en titre avec 13 victoires pour 10 défaites.

[highlight] L’Oscar « Looking For Eric » du gars qui a su développer une relation privilégiée avec ses fans : Kyrie Irving [/highlight]


À Philadelphie vendredi, un fan a eu la chance de pouvoir discuter quelques secondes avec Kyrie Irving, nouvelle star des Celtics et champion NBA en 2016. Un échange court mais enrichissant alors que le meneur s’apprêtait à rejoindre le vestiaire : « Hey Kyrie, il est où LeBron ? – Suce ma bite ! ». Ou quand la magie d’internet te coûte 25 000$.

 

 

[highlight] L’Oscar « Un Américain à Paris / Il Faut Sauver le Soldat Ryan » du gars qui met toute la capitale à ses pieds mais qui n’a pas que des bons souvenirs en France : Kobe Bryant [/highlight]


Kobe n’a sans doute même pas eu le temps de déguster un petit jambon/beurre du weekend tellement il a donné d’interviews à l’occasion de sa venue à Paris pour Nike. Mais la France, ce ne sont pas uniquement de bons souvenirs pour lui. Il a ainsi confié qu’il détestait deux joueurs Français ayant croisé son chemin en NBA. En tout cas nous, on s’est régalés avec la légende des Lakers et on vous l’a fait partager !

[highlight] L’Oscar « Jerry MaGuire » mec qui balance : Evan Fournier  [/highlight]


L’avis d’Evan Fournier sur la FIBA ? C’est très simple.

[highlight] L’Oscar « Will Hunting » du gars dont on a failli gâcher le génie : LaMarcus Aldridge [/highlight]


Gregg Popovich l’a avoué, il s’estime à 98.75% responsable des difficultés de LaMarcus Aldridge pour sa première saison chez les Spurs l’année dernière. Le coach des Texans a regretté avoir voulu « changer » son intérieur, pleinement épanoui en ce début de saison en l’absence de Kawhi Leonard.

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