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Gerald Green : « J’en ai encore sous le capot »

Drafté en 2005 par Boston, Gerald Green a depuis connu un long voyage. En plus des huit équipes NBA qu’il a connues depuis le début de sa carrière, le joueur est aussi passé par la Russie, la Chine et la D-League. Des aventures qui ont forcément forgé son caractère. De retour à Boston onze ans après, Green est désormais un autre homme. Il en a parlé lors du Media Day des Celtics.

Je suis ravi de revenir. Je ne suis pas parti en mauvais termes et je suis heureux de revenir avec les Celtics qui m’ont drafté. A l’époque, je sortais juste de high school et je suis bien meilleur maintenant. C’est ma douzième saison en tant que professionnel et je suis bien plus mature désormais. J’en ai encore sous le capot, je me sens très bien et je sais que j’ai appris énormément. » Gerald Green

Réputé au début de sa carrière comme un dunkeur unidimensionnel, Green a désormais pris une autre dimension, arrêtant de privilégier le spectacle au jeu d’équipe. C’est d’ailleurs cette dimension collective qu’il recherchait et qui l’a convaincu de retrouver Boston.

Isaiah Thomas a une grande influence et j’aime comment il implique tous les autres joueurs. Je suis heureux de faire partie de ça. Je me rappelle de quand on affrontait les Celtics avec Miami et je voyais à quel point ils prenaient du plaisir et c’est bien pour ça que j’ai voulu faire partie de ça. » Gerald Green

Questionné sur le rôle que son coach Brad Stevens lui demandera de jouer, Green parait ouvert à tout.

Ils m’ont demandé d’apporter du scoring en sortie de banc, d’être quelqu’un qui peut apporter de l’explosivité. Je suis maintenant un vétéran donc c’est à moi d’être professionnel. Quel que soit le rôle qu’ils me donneront je le jouerai. Que je sois titulaire un soir, que je sorte du banc un autre soir, ou que je ne joue pas du tout, je serai professionnel. Mais je m’occuperai des plus jeunes, je ferai en sorte qu’ils continuent à bosser dur. Je vais faire en sorte que l’équipe reste concentrée sur ses objectifs. C’est un combat de 82 jours. […] Je suis venu ici pour être qui je suis, c’est à dire être un leader et être vocal. C’est quelque chose que j’ai appris au fil des années » Gerald Green

On sent bien le poids de l’expérience et du vécu dans ce discours. Voici, ici, l’intégralité de l’interview.

 

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