Mark Cuban met des choses au clair concernant sa venue à Houston
Hier Mark Cuban a eu un accrochage avec le journaliste d’ESPN Chris Broussard qui rapportait que Mark Cuban ne savait même pas où habitait DeAndre Jordan et qu’il était un peu paniqué. Cuban a tenu à mettre les choses au clair
Chers fans des Mavs, après toutes ces bêtises venant d’un employé d’ESPN sut Twitter, j’ai pensé que j’allais vous expliquer ce qu’il s’est passé mardi.
Pendant toute la journée de lundi nous avons échangé des textos pour discuter des joueurs disponibles, de l’espace sous le salary cap, des joueurs appréciés par le staff, ceux qu’il apprécie et de son excitation de venir.
Puis en fait mardi les communications ont stoppé et nous avons commencé à entendre des rumeurs émanant de plusieurs personnes comme quoi il se passait quelque chose. J’ai donc pris l’avion pour aller à Houston et j’ai pris une chambre à l’hôtel Galleria, qui est juste à quelques minutes de sa maison. Mon chauffeur m’a amené là-bas et sa maison se trouve dans un quartier fermé mais le portail était ouvert. Nous sommes donc allés jusqu’à chez lui. Il n’y avait personne donc je lui ai envoyé un texto pour lui dire que j’étais là, que je savais qu’il se passait quelque chose et qu’il fallait discuter. Il m’a répondu qu’il était en rendez-vous. Je lui ai dit de bien s’amuser et que je n’étais pas pressé. Je lui ai dit que j’étais content de passer pour dire bonjour et que s’il voulait amener son rendez-vous à Dallas pour la soirée je pouvais les amener. Il ne m’a pas répondu.
Je suis revenu à l’hôtel parce que je n’allais pas attendre assis devant sa maison. Je ne pense pas que ça se fait. Quand je suis retourné à l’hôtel je lui ai dit que je n’étais plus devant chez lui, de bien s’amuser et qu’on parlerait après. Il m’a répondu rapidement en me remerciant.
Il savait que j’étais en ville, que j’étais pas loin. Je savais que quelque chose se tramait et j’avais les mêmes rumeurs que tout le monde. Je savais aussi que ses agents venaient en ville. C’était logique qu’il veuille leur parler et dans le pire des cas, même s’il hésitait, ses agents m’auraient tenu au courant.
Comme pour toute grosse décision dans une carrière, c’est naturel d’hésiter. Bien que j’étais préoccupé, je n’étais pas inquiet.Donc je suis allez me coucher.
J’en dirai plus plus tard.